Amazonie 2
Datte: 04/01/2025,
Catégories:
pro,
fh,
ff,
fff,
hh,
fhh,
BDSM / Fétichisme
Transexuels
uro,
historique,
merveilleu,
fantastiq,
Auteur: Miss Arthur, Source: Revebebe
... conteneurs des équipements pour notre retour, un joli petit camp. Marcel nous rappela qu’il resterait ici à garder le matériel et attendre notre retour. Nos sacs furent vite préparés : des vivres pour trois jours, nos armes et munitions, un peu de linge de rechange, les radios et téléphones, les tablettes de navigation, les jumelles de vision nocturne, des trousses médicales de forêt et bien sûr les machettes pour nous tailler un chemin. Nous nous maquillâmes en cohérence avec nos treillis et l’environnement de la forêt. Nous nous attachâmes les cheveux pour réduire nos surfaces d’exposition. Marcel s’éclipsa.
— On garde les chapeaux de brousse le plus possible pour protéger nos têtes. La forêt est dangereuse, dit Lia.
~ Non, elle ne l’est pas tant que ça, pas pour toi et tes amies, dit soudain dans ma tête une voix parlant dans la langue de la forêt,tout se passera bien, j’y veillerai.
C’était la Déesse de la forêt qui me parlait. C’était la première fois qu’elle le faisait directement, j’en étais très, très heureuse. Lia ajouta :
— N’oubliez pas de plus que lorsqu’une d’entre nous doit faire ses besoins, les deux autres doivent surveiller qu’aucune bête n’en profite pour grimper sur sa peau ni se glisser dans les vêtements. Pas de fausses pudeurs en opération entre nous. Une devant et l’autre derrière.
— Euh, Lia, tu sais, sur ce point… fit Mélanie, pas vraiment de problème, vu nos activités amoureuses !
— C’est pas faux, admit-elle. Allez, en route. Ça va ...
... Alex, tu as l’air étrange ?
— Ça va parfaitement bien, je suis en pleine communion avec la forêt. La Déesse nous accompagne.
Lia ne trouva rien à objecter, Mélanie me regarda avec amour comme si j’étais une sainte. Nous nous mîmes en route, la tablette nous guidait vers les coordonnées des pyramides.
Nous progressions vite et utilisons peu nos machettes, c’était comme si la végétation s’écartait un peu sur notre passage. Lia et Mélanie s’en étonnaient, moi je savais pourquoi. Nous fîmes une courte pose pour le déjeuner. J’eus le loisir d’observer la chatte de Lia et le cul de Mélanie alors qu’elles faisaient leurs besoins.
~ Jolies nymphes, fit la voix dans ma tête, toujours dans la langue de la forêt.
~ Je ne savais pas que vous appréciiez autant les formes féminines, lui répondis-je dans la même langue.
Mélanie venait de terminer son affaire et comme j’étais derrière elle, personne ne remarqua que j’avais eu l’esprit absorbé par une conversation intérieure.
Nous n’étions plus qu’à une heure des pyramides quand la nuit tomba sur la forêt. Nous mîmes alors nos jumelles de vision nocturne pour continuer notre progression. Une fois rendus à quelques centaines de mètres, nous dûmes quitter nos jumelles vu les lueurs autour des pyramides : de nombreuses torches étaient allumées et il y avait des êtres humains qui dansaient, une cinquantaine environ. Nous nous approchâmes doucement, avec nos armes à portée de mains en cas de besoin. Je savais que nous n’en aurions ...