Amazonie 2
Datte: 04/01/2025,
Catégories:
pro,
fh,
ff,
fff,
hh,
fhh,
BDSM / Fétichisme
Transexuels
uro,
historique,
merveilleu,
fantastiq,
Auteur: Miss Arthur, Source: Revebebe
... capitaine de l’armée de l’air vint nous chercher pour nous emmener à bord de son A400M. Il avait pu calculer la plage de vol pendant laquelle il devait nous larguer compte tenu de la météo et des vents. Il l’affinerait toutefois en vol pour tenir compte des dernières évolutions. Le plan de vol était déposé, incluant le survol prévu, il n’y avait pas de mauvaises surprises.
Les moteurs de l’avion se mirent bientôt en route. Hormis le largueur, il n’y avait que nous trois en soute avec notre matériel, tant mieux. Nous étions déjà dans notre bulle mentale opérationnelle, même si cela ne nous empêchait pas d’échanger des petits sourires entre nous. À quinze minutes du point de largage recalculé, nous nous préparâmes avec l’ensemble de nos équipements et lançâmes les dernières vérifications. Nous mîmes nos masques à oxygène et activâmes sa distribution. La soute fut alors dépressurisée pour permettre l’ouverture de la grande porte arrière et nous fûmes bientôt toutes trois en position puis nous nous jetâmes ensemble dans le vide de la nuit. Nous avions nos sacs attachés à nous et chutâmes un temps chacune tenant la main de l’autre, avant que Lia n’ait besoin de contrôler notre trajectoire avec sa tablette de bras. Tout allait bien et l’ouverture des parachutes fut faite à la bonne altitude pour entrer en phase de vol sous voile de façon à arriver au point prévu. Avec nos jumelles de vision nocturne, un paysage irréel s’offrait à nos yeux, la forêt verte de jour l’était ...
... aussi de nuit. Nous avions le visuel les unes sur les autres et maintenions la distance nécessaire à notre sécurité tout en permettant un atterrissage groupé et de précision. Nous approchions de la forêt et aperçûmes le bras de rivière destiné à nous faire retrouver le plancher des vaches, quoiqu’il était assez improbable qu’il y en eût là où nous allions.
Nous larguâmes les parachutes dès que nos sacs suspendus touchèrent la surface juste avant que nos pieds ne rencontrent l’eau eux-mêmes. Un petit plongeon rapide qui fut de courte durée, nous avions pied et nous fûmes très rapidement sur la berge.
— Salut les filles ! dit une voix venant des taillis. Bienvenue en forêt.
— Marcel ! s’écria Lia.
— Tu sais que cette tenue de combat te va vraiment très bien, tu es encore plus belle que la dernière fois…
— Arrête avec tes compliments sexistes à la con, Marcel. N’oublie pas que je suis ton supérieur en grade et pour cette mission.
— OK, commandant, j’arrête. Voici donc les capitaines Alexandra et Mélanie. Heureux de vous revoir et bienvenue dans le club des capitaines !
— Merci, Marcel, heureuses de te revoir aussi.
— OK les filles, fit Lia, on va passer la nuit ici, si Marcel a bien aménagé la zone.
— C’est fait, répondit ce dernier.
— Bien, nous marcherons demain toute la journée. On fera les sacs demain matin avant de partir. Des questions ?
— Non, fis-je, tout va bien.
— Alors bonne nuit.
Nous nous levâmes à l’aube. Nous vîmes l’installation de Marcel, les ...