Amazonie 2
Datte: 04/01/2025,
Catégories:
pro,
fh,
ff,
fff,
hh,
fhh,
BDSM / Fétichisme
Transexuels
uro,
historique,
merveilleu,
fantastiq,
Auteur: Miss Arthur, Source: Revebebe
... pas l’usage. Nous observâmes aux jumelles grossissantes, que se trouvaient là des femmes et des enfants, toutes et tous quasiment nus, d’un morphotype très indien de la forêt. Je comprenais les paroles de leurs chants, dans la langue de la forêt. J’expliquai alors à Lia et Mélanie ce qui était en train de se passer.
— Ce sont des amazones de la forêt, dis-je. Elles honorent la Déesse, le culte a repris. Bientôt, les jeunes garçons deviendront des filles. Observez à la jumelle comme leurs sexes de garçons sont petits, ils doivent prendre les plantes de la forêt. Il y a aussi des ados ayant des seins et encore un petit pénis. Ils vont eux aussi devenir des jeunes filles.
— Mince, dit Mélanie, si je pensais assister à cela ! Que faisons-nous, Lia ?
— Rien, on observe et on rend compte plus tard.
— On filme ? demanda Mélanie.
— Non, ce serait indécent, fit Lia.
~ Bien notre Lia, me dit la Déesse. Nous sommes d’accord, restez là et ne faites rien ! C’est bien, je t’avais dit qu’il n’y avait pas de danger.
Nous restâmes donc à distance, notre accoutrement de guerrières modernes aurait risqué d’affoler les amazones qui nous auraient peut-être prises pour des soldats gouvernementaux. Nous décidâmes de passer la nuit où nous étions, en montant une garde en nous relayant. Au matin, toutes les amazones dormaient. Elles étaient toutes femmes ou filles désormais. Lia, Mélanie et moi étions réveillées. Lia allait envoyer un message à Marcel pour lui annoncer notre retour ...
... quand nous commençâmes à entendre des bruits de moteurs de véhicules, d’abord lointains puis se rapprochant du secteur des pyramides. Nous ne pûmes voir ce qui se passait tant que les véhicules n’arrivèrent pas aux pyramides : deux camions bâchés et un 4x4 en version pick-up avec des hommes en tenues modernes armés de fusils d’assaut, qui débarquèrent en tirant des rafales et rassemblèrent rapidement les amazones qui semblaient désemparées. Elles n’étaient pas armées ni apparemment aptes au combat.
— On intervient, fit Lia, on laisse les sacs et on prend les armes, vite !
— Ce sont des trafiquants ou des bandits, dit Mélanie. Ils vont les tuer ou les réduire en esclavage, les prostituer ou que sais-je encore ?
— Et détruire la forêt aussi probablement.
Nous progressâmes assez vite, la végétation tantôt nous masquait, tantôt nous faisait avancer plus vite. Lia nous indiqua qu’étant à trois nous tirerions pour tuer, pas d’hésitation à avoir.
Nous fîmes irruption dans la clairière où se trouvaient les bandits et les amazones, déjà embarquées dans les camions. Il nous fut donc facile de ne tirer que sur les trafiquants, qui ne s’attendaient pas du tout à notre attaque. Nous fîmes usage de nos fusils d’assaut. Les bandits furent bientôt tous morts ou neutralisés. Ils n’eurent pas le temps de répliquer, nous achevâmes les blessés, notre mission devait rester secrète. Les amazones sautèrent des camions en poussant des cris de joie. Elles se jetèrent sur nous pour nous ...