1. Trouver Ma Place -- Fin


    Datte: 02/01/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... quémander, à souffrir. Assurément ce n'était pas l'homme qu'elle avait épousé et qu'elle voulait. Je me demande en combien de temps Jeanne va complètement se désintéresser de toi? As-tu remarqué comme cela a commencé? J'avoue que ta déchéance dans son cœur m'excite aussi terriblement.
    
    Elle pense sincèrement ce qu'elle vient de me dire, ce qui me fait le plus mal. J'avais cru discerner chez elle un intérêt pour moi. Et ce qu'elle dit sur Jeanne résonne en moi, oui je l'ai remarqué. Et non je n'avais pas compris que je la dégoûtais ainsi à être aussi pathétique, masochiste et soumis. Tout s'éclaire dans mon esprit, mais c'est trop tard. De toute façon, il n'y avait rien à y faire, car je suis bien à ma place.
    
    - Continuons
    
    Oh non! C'est encore plus dur si c'est possible. Tape-t-elle plus fort, ou, plus simplement, les fesses déjà meurtries rendent les coups insupportables. Ma voix est éraillée, j'essaie de m'offrir pour atténuer l'impact, sans succès. 10 nouveaux coups sur les fesses, puis 5 sur chaque cuisse. Je crois que je me suis évanoui, c'est bien trop intolérable.
    
    Je suis réveillé par une pression sur mon cul. Pression que je connais parfaitement. Le gode est bien graissé au moins, Jeanne lui a donné quand même les rudiments de base. Mon anus est forcé sans préparation, sans brutalité mais sans douceur. La douleur est alors brutale, comme un coup de pied, je ne m'affole pas, je sais qu'elle passe, mais en règle générale Juliette retire l'objet pour me ...
    ... soulager. Là c'est l'inverse le gode continue de s'enfoncer. Je le reconnais à ses stries, il faut avouer que j'adore cela. Il fait bien 30 centimètres de long et 6 de diamètre.
    
    Juliette force, butte au fond de moi, mais ne sait sans doute pas qu'il ne s'enfonce pas de plus de 20 centimètres. Elle essaie encore, le tourne, presse jusqu'à trouver un chemin inconnu pour moi. Je sens tous mes organes remués et contraints, des douleurs profondes et nouvelles tandis que le gode rentre jusqu'à la garde! Je suis halluciné. Avec dextérité, Juliette referme la sangle de la ceinture de chasteté qu'elle avait ôtée dans mon sommeil, le gode est ains profondément fiché en moi. C'est délicieux, mais ne compense pas la souffrance de mes fesses et de mes cuisses. Elles sont en feu.
    
    Puis plus rien. J'entends la porte d'entrée s'ouvrir, les lumières s'éteindre, le silence se faire. Elles ne peuvent pas me laisser ainsi. Et pourtant. Le plaisir d'être ainsi enculé devient une terrible souffrance au bout d'une vingtaine de minutes, puis insupportable. Me faisant oublier mes fesses et mes cuisses lacérées. Je gémis en continu, la souffrance m'épuise, je m'endors.
    
    Jeanne est proche de moi, je la ressens, je vibre, j'ai envie de bander. Je m'agite pour lui indiquer que je sais qu'elle est là. Mon dieu comme je l'aime, comme tout ceci prend du sens avec elle. Mais aussi comme j'ai honte de m'afficher ainsi, maintenant que j'ai compris que ce n'est pas ce qu'elle veut de moi.
    
    - Mon dieu esclave, ...
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