1. Trouver Ma Place -- Fin


    Datte: 02/01/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    - Je crois que tu n'as rien compris à ce que nous venons de te dire. (Juliette semble furieuse, elle me fait peur). Ne pas parler, jamais sans y être invité? Cela ne te rappelle rien comme règle (Je baisse la tête, c'est vrai). Et en plus tu t'es permis de me tutoyer. Tu te crois où? Tu te prends pour qui? Je vais te faire comprendre très vite que ce n'est pas toi qui fixes les règles. Tu ne décides plus rien et tu fais ce que je te dis. Allonge ton ventre sur la table et écarte les jambes.
    
    Franchement je n'en mène pas large. Je suis sonné des coups et de son agressivité. Je garde les yeux baissés, j'allonge mon ventre sur la table, la ceinture est vraiment serrée et brûle déjà un peu ma peau. Mes chevilles sont écartées et attachés aux pieds de la table de marbre, tandis que mes mains, jointes ensemble, sont attachées aux autres pieds. Juliette tire un maximum pour que tout soit tendu, je ne peux bouger qu'à peine. Je suis exposé et vulnérable, épuisé aussi, je pose la tête sur le marbre froid. Je me doute qu'elle va me battre les fesses, ainsi tendues. Sait-elle que c'est bien plus douloureux? Quand je la vois sortir la canne en fibre de carbone du sac je tremble de peur. Je n'ose rien dire pourtant. Nous avons à peine essayé cette petite canne de 40 cm dont la douleur est vraiment extrême. Jeanne ne l'avait pas utilisée plus de deux fois, tant les marques sont profondes et violentes. Et Juliette ne sait sans doute pas l'utiliser en plus.
    
    Le premier coup me ...
    ... surprend, me coupe le souffle, vrille mon cerveau. La souffrance est insensée. Je hurle dans le bâillon que Juliette m'a enfoncé dans la bouche, fait des culottes de Jeanne et elle. Je n'ai pas le temps de récupérer que déjà elle frappe très fort l'autre fesse. Elle n'a même pas cherché à évaluer l'impact du coup. Mon corps est tendu comme un arc, tirant comme un fou sur les liens, me faisant mal aux poignets et chevilles pour rien. Impuissant je compte les coups jusqu'à 10, dans un mode de survie. Je compte machinalement et m'affaisse au dixième. Je sens mes fesses brûler, couler, cela ne peut être du sang, je n'ai jamais saigné des fesses. La douleur irradie profondément. Je ne fais que hurler, même les coups terminés.
    
    - Tu vas m'obéir et comprendre ta place j'en suis certaine.
    
    La voix de Juliette est toujours aussi calme, et devient d'un coup menaçante pour moi. Je comprends qu'elle contrôle. Sa main sur mes fesses ne m'apaise pas mais je sens qu'elles sont gondolées, profondément marquées. Je pleure, je hoche la tête pour lui indiquer comme je suis d'accord, que j'ai compris.
    
    - Te rends tu compte comme tu es pathétique, tu as le double de mon poids, 30 ans de plus que moi, et tu te laisses faire comme la larve que tu es. Je n'y croyais pas quand Jeanne m'a parlé de toi, de tes pulsions, de tes besoins. A quel point tu n'étais bon qu'à servir les femmes. Je le constate.
    
    - Je crois que ta femme ne voulait plus te dominer, tant tu lui paraissais pathétique, à ramper, à ...
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