Trouver Ma Place -- Fin
Datte: 02/01/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... toujours encombrée mais devenue très sèche, j'ai horriblement soif.
J'émerge soudain, les deux jeunes femmes sont devant moi. Jeanne est absolument splendide dans une robe patineuse courte et blanche, juchée sur de grands talons elle dépasse son amour de plus de 10 centimètres. Elle est légèrement maquillée, les cheveux noués en queue de cheval, la décolleté magnifique, parfait même! Je la trouve sublime, surtout épanouie, heureuse. Cela me remplit de honte quand je repense à ses propos, à son mépris et son rejet. Je m'accroche à ses mots d'être l'homme de sa vie, mais je commence à en douter. Juliette est égale à elle-même, toujours aussi fraiche et délicate. Elle tend à Jeanne la canne qui m'a torturé il y a au moins 10 heures, puisque le jour est tombé. Mes bras comme mes jambes sont en carton.
- Nous allons terminer ta punition esclave, je pense que tu t'en souviendras. Sinon la prochaine fois ce sera le triple de coups. Maintenant c'est Jeanne qui va faire sa part, et moi me remplir de ta souffrance. Je le savais, mais pas à ce point, j'adore voir un homme souffrir, c'est instinctif, je mouille.
J'essaie de faire non de la tête, je ne peux rien subir de plus, mais sans effet bien entendu. Jeanne a été informée par son amie, car les coups sont aussi forts, bien plus douloureux car mes fesses ont refroidi. A chaque coup je bondis, je croise le regard de Juliette, les yeux brillants, la main dans son pantalon qui se fait jouir en continu. Cela me dope, m'excite ...
... terriblement, cette fille est un démon incroyable, je me nourris de ses orgasmes et arrive à mieux accepter la terrible flagellation de Jeanne qui termine par mes cuisses bien marquées déjà. Elles sont toutes gondolées comme mes fesses.
Les deux femmes s'embrassent passionnément devant moi, et vont faire l'amour sur le canapé que je distingue du coin de l'œil. Je suis heureux, elle avait raison, heureux de les voir toutes les deux si heureuses. Et j'ai retenu la leçon. Je m'effondre enfin, ayant complètement oublié le gode qui me vrille le corps.
***
Il est 5h00 du matin, je me réveille comme tous les jours de la semaine. Je plie ma couette, seul luxe de ma couche. Je ne suis pas encore bien habitué à dormir sans oreiller, alors que l'absence de matelas ne me gêne guère. Une rapide toilette de chat, je ne me résous que rarement à une douche tant l'eau est souvent glacée. Je vérifie le rasage de ma tête, 5 mm, et je passe un rapide sabot sur mon visage pour entretenir une barbe de 3 jours, très appréciée par Madame. J'enfile mon uniforme avec un T-Shirt blanc moulant, laissant clairement apparaître mes anneaux aux tétons tant ils sont imposants, et un boxer blanc, tout aussi moulant, offrant une vue imprenable sur ma ceinture de chasteté. Comme promis, elle n'a pas bougé depuis ce premier soir d'entrée en esclavage.
Je monte à l'étage, peu surpris de l'état du salon. Les deux femmes ont reçu d'autres couples lesbiens hier, et je m'attendais à ce que l'état soit assez ...