1. Le placier, le migrant


    Datte: 26/12/2024, Catégories: fh, fplusag, couleurs, grossexe, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, pénétratio, fsodo, confession, initiat, Auteur: Micchel1954, Source: Revebebe

    ... quoi faire quand j’aurai peur.
    — Ben oui, mon garçon.
    
    Le lendemain matin, je me lève. Bizarre, cette impression qu’un troupeau d’éléphants m’est passé dans le ventre. Mais les impératifs de la journée ont vite repris le dessus.
    
    Et puis, il est aussi doué au lit qu’il ne l’est pour la couture, il a tout appris vite et bien : les positions, sucer, se faire sucer, s’exprimer. Je me suis accoutumée à la taille de son sexe, il m’a ouverte et élargie. Et puis, il est devenu un vrai mâle aussi, une vraie brute, il me défonce en règle, me démolit. J’ai eu honte au début, un homme si jeune qu’il aurait pu être mon fils, mais la honte s’est vite dissoute dans les orgasmes qu’il me donne. Je n’ose toujours pas lui donner mon petit cul, pourtant j’y pense de temps en temps.
    
    Et puis le temps passe, grâce à sa dextérité au travail, les affaires continuent à prospérer, pourtant, il a une idée :
    
    — Tu sais, Danielle, il faut qu’on fasse un site internet, qu’on explique aux gens. Ils nous envoient leurs couvertures, on leur fait leurs habits. Ils paient et nous, avec les chutes, on fait encore d’autres choses, c’est tout bénéfice.
    
    Nous le mettons en pratique et là, c’est de la folie, les commandes pleuvent de toute la France. Je lui ai fait un contrat de travail et ai engagé des formalités administratives de toutes sortes pour qu’il ait des papiers. Un jour, alors que nous avions travaillé jusque minuit, il m’a enlacée de dos, devant la table de travail, je me suis affalé ...
    ... dessus, face contre la table, les seins écrasés sur des piles de chutes de tissus. Délicatement, il m’a enlevé mon pantalon, ma culotte, et m’a prise par derrière, c’était bon, c’était si bon après tant de travail qu’il a joui dans ma raie sur mon petit cul et, encore raide, il s’est posé sur mon petit trou.
    
    Voilà, ma grande, je me suis dit,tu vas y passer, il va te casser.
    
    Il remonte son sperme de ma chatte avec son gland sur mon œillet pour le lubrifier, il appuie dessus de plus en plus à chaque fois.
    
    Fatiguée de tant de travail, je m’abandonne, je passe mes mains derrière moi, saisis mes deux fesses et les écarte au maximum, lui offrant mon cul. J’ai la folie de dire :
    
    — Vas-y, Séraphin. Vas-y, c’est pour toi.
    
    Et il me casse complet, un océan de douleur, une volonté au fond de moi de tout donner, déchirée, hurlante, pleurante, jamais je ne dis doucement, jamais je ne me plains, toujours je crie, hurle :
    
    — Vas-y, vas-y, prends-moi, prends, prends !
    
    J’assume, je m’assume.
    
    Et ça, il me prend ! Il finit par tout me mettre, très profond. J’ai tellement mal que je jouis, comme seule la sodomie peut faire, j’ai tellement mal que ça se transforme en une acceptation totale, en don de moi primal, en jouissance extrême.
    
    Il me remplit encore une fois, je tombe par terre, chancelante, à bout de force. Il me porte sous la douche, me lave et me couche, et je m’endors.
    
    Le lendemain matin, petit-déjeuner.
    
    — Bon, voilà, Séraphin, maintenant tu sais tout de la ...