Le placier, le migrant
Datte: 26/12/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
couleurs,
grossexe,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
pénétratio,
fsodo,
confession,
initiat,
Auteur: Micchel1954, Source: Revebebe
... j’étais très maigre, c’est passé.
Je craque, je soulève ma couette, j’enlève ma robe de chambre et je lui dis de venir.
— Timide, me répond-il.
— Viens, Séraphin, viens, touche ! Vas-y, touche-moi, regarde.
C’est comme un début du monde, de la douceur, de la découverte.
N’osant pas et osant, je le laisse faire, ses yeux expriment un étonnement extatique.
— Je peux t’embrasser, Danielle ?
Et puis, finalement, il m’embrasse… Doucement, mais ce sont des choses qui s’apprennent vite, déjà sa langue s’insinue en moi, il se serre contre moi, il découvre.
Alors que je le caresse, ma main passant sur son ventre, je rencontre son sexe dressé.Putain, c’est quoi ce truc ? Ma main ne fait pas le tour, tellement c’est gros, son gland arrive au niveau de son nombril, c’est pas possible, jamais je n’aurais imaginé qu’un homme puisse avoir un truc pareil… un truc de cheval quasiment.
Je le lâche et me laisse retomber sur le dos, perplexe… que faire maintenant ? Je n’ai pas beaucoup d’expériences sexuelles finalement, et là, mais alors là, j’ai ouvert la boîte de Pandore et il en est sorti un truc inimaginable pour moi.
Souple comme un léopard, il est sur moi, j’écarte les jambes et je me disbon, allez, courage, tu as voulu jouer, va falloir assumer.
Maladroit comme un novice, il me cherche, il ne sait pas où, je descends ma main pour le guider, et alors que je reprends son sexe en main, je me disnon, c’est pas possible, c’est pas possible. Mais déjà il est là, ...
... il m’écarte, me force, m’ouvre, me dilate, il n’y est pas encore, ou presque, il éclate, des jets de spermes inondent mon entrée.
C’est bon, me dis-je,il a fini. Mais non, il n’a pas fini, il a vingt-quatre ans et c’est sa première fois. Il ne débande pas, il continue à pousser, je me sens déchirée, je lui dis sans cesse :
— Doucement, doucement !
Et puis une sensation de déchirement, je le sens, il m’a mis son gland, il me remplit, et je crie :
— Je jouis !
Il se retire.
— Excuse-moi, Danielle, je t’ai fait mal ?
— Non, Séraphin, tu sais, c’est le plaisir, les femmes crient parfois quand elles ont du plaisir. Tu peux toi aussi crier, dire que tu aimes, t’exprimer, les femmes aussi aiment que leurs partenaires s’expriment.
Il revient, c’est plus facile, mais pas plus aisé, encore plus raide, encore plus gros. Je prends mes jambes avec mes mains, je tire dessus de toutes mes forces pour m’ouvrir au maximum. Il revient, ça y est, il m’a tout mis, je le sens taper le fond de ma matrice. Ça fait mal, mais c’est très bon, je jouis, incontrôlable, je tremble. Il hurle et m’inonde une nouvelle fois, des torrents de sperme m’envahissent, chauds, forts, odorants, j’en ai plein la chatte, ça déborde de partout.
Enfin, je le sens, il débande. Ses yeux expriment une gratitude sans fin.
— Merci, Danielle, merci beaucoup !
— Voilà, Séraphin, tu es un homme maintenant, tu sais ce que c’est une femme, tu n’auras plus peur la nuit, hein !
— Oui, Danielle, je sais ...