Sexy tribute
Datte: 25/12/2024,
Catégories:
f,
fh,
fsoumise,
humilié(e),
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
strip,
Masturbation
sm,
fouetfesse,
dominatio,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
Nous nous étions plu tout de suite et avions décidé de nous lancer dans une relation simple. De plus, nous nous plaisions physiquement, ce qui ne gâtait rien. Même si le physique d’un homme est important pour moi, le charme compte beaucoup plus. Caractère et sens de l’humour viennent ensuite. Lui, je le trouvais beau. Je préférais les bruns, costauds, voire taillés en armoire normande, et il m’avouait très vite que s’il appréciait toutes les femmes, il préférait qu’elles soient grandes, minces si possible et blondes. Je ne lui cachais pas que je trichais un peu sur ma blondeur mais il me rassura très vite. Vraies ou fausses blondes, peu lui importait. Le châtain très clair de ma chevelure lui plairait certainement si je décidais de ne plus tricher. Il avait un faible pour les yeux verts mais trouvait le bleu de mon regard charmant.
Il fut décidé à bannir, et ce dès le début, toute prise de tête dans nos rapports. Et bien sûr, chacun déciderait de rompre quand l’envie s’en ferait sentir. Depuis ces six mois que nous nous fréquentions, nous avions partagé beaucoup de choses.
Soirées sympathiques, discussions sur de nombreux sujets, afin de mieux nous connaître, agrémentées de petites dégustations de vins, un autre de nos nombreux goûts communs. La politique fut notre seul point de désaccord. Il était plutôt enclin au libéralisme et j’avais toujours été de gauche avant de me désintéresser totalement du sujet.
Nous nous retrouvions le soir, le plus souvent chez lui, où ...
... je restais presque toujours passer la nuit. Nos week-ends étaient à nous. Cette habitude de ne pas se voir en fin de semaine perdura un temps et depuis peu, nous passions un week-end sur deux, ensemble. Là encore, c’était une réussite.
De longues promenades en bord de mer, et parfois nous partions en voiture sans but précis, passant la nuit dans un hôtel quelconque, pour nous être trop éloignés de nos pénates. Chacune de nos nuits, depuis notre rencontre, avait été plus qu’agréable. Parfois, ces nuits étaient éreintantes, surtout quand il me demandait de l’appeler Monsieur. Nous avions très vite compris que nous avions beaucoup d’intérêts communs. Les plaisirs du sexe étant importants pour lui comme pour moi, et nos nouveaux petits jeux, s’ils n’étaient pas prévus, nous rapprochèrent plus encore.
C’est ce fameux soir, où je m’agaçais de le voir tenter de m’imposer ses idées en politique, que je l’appelais Monsieur pour la première fois. Un peu lassée de l’entendre débiter des idioties d’un autre siècle sur la classe ouvrière, je l’avais laissé en plan pour aller quérir une seconde bouteille de vin rouge. Je n’avais aucune envie de me disputer et ses idées finiraient par me mettre de mauvaise humeur.
Mon anniversaire venait de tomber et cette peste de Maud en avait profité. Maud, ma meilleure amie, sachant que j’avais toutes les peines du monde à me confectionner un jambon beurre, m’avait offert un énorme recueil de recettes culinaires. Et elle ne s’en était pas tenue ...