Sexy tribute
Datte: 25/12/2024,
Catégories:
f,
fh,
fsoumise,
humilié(e),
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
strip,
Masturbation
sm,
fouetfesse,
dominatio,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... dernier caprice de mon amant. Un soir, je fus particulièrement excitée par les mots qu’il employait pour me faire poser. Il ne cessait de me demander si j’aimais être exhibée ainsi devant lui. J’avouais que j’adorais et il finit par exiger que je l’appelle Monsieur.
Très vite, il m’encouragea à me lâcher et à abandonner toute retenue. En fait, pour la première fois, il exigeait et j’obéissais. Mes poses devinrent donc de plus en plus osées. Puis, il dit qu’il allait m’exhiber sur Internet. Il insista, disant que cela l’exciterait énormément. Il avait envie que d’autres puissent l’être également en fantasmant sur moi.
— Imagine que d’autres que nous puissent voir ces photos de toi. Que tu excites des tas de voyeurs ! Imagine que des hommes te regardent et fantasment sur toi. Il suffira que je cache ton visage et le tour est joué.
Ma dernière pose m’avait laissée assise sur un fauteuil. Nue, bras relevés et mains croisées sur la nuque, je posais, les pieds sur les accoudoirs de chêne et les cuisses largement ouvertes. Ses mots résonnaient encore, que je m’imaginais en fantasme érotique. Bien sûr, le fait qu’il impose son idée m’excitait beaucoup, mais être exhibée devant des inconnus me troublait bien plus encore.
Les photographies furent donc mises en ligne sur un site très connu.
Les images avaient été remaniées et mon visage caché pour des raisons évidentes. À ma grande surprise, notre boîte aux lettres créée pour l’occasion était pleine à craquer. J’avais ...
... beaucoup d’admirateurs. Je ne pouvais m’empêcher d’ouvrir moi-même chaque soir notre courrier. Bien sûr, je ne faisais que survoler nos messages, mais cela me suffisait. Je n’osais pas l’avouer à mon amant, mais j’étais toujours excitée et trempée après ces lectures. Nous nous étions présentés comme un couple. Lui aimait exhiber sa femme. Elle, salope et soumise, adorait lui obéir et exciter des inconnus. Les messages s’adressaient le plus souvent à mon amant. J’étais le fantasme, il était celui qui donnait de quoi fantasmer. Les commentaires étaient souvent crus, et parfois vulgaires. Si j’en éprouvais de la honte et un plaisir trouble, je ne pouvais me cacher les faits. Plus les messages étaient humiliants, plus cela m’excitait.
— Oui, j’aime beaucoup mais je ne répondrai pas à ces types.
— Je veux que tu essaies au moins une fois. Tu choisis de répondre à la personne de ton choix. Ou à plusieurs internautes si tu veux. Si tu préfères, je ne lirai pas tes échanges. C’est promis, Juliette.
Évidemment, je ne tenais pas particulièrement à ce que Monsieur puisse lire ce que je répondrai à mes « fans », et l’esprit libéré par notre accord, l’exercice me plut beaucoup. Je répondais à quelques mails avec le plus de sincérité possible. Je compris vite que cette sincérité n’avait rien à voir avec un souci d’honnêteté. Être sincère, répondre sans rien cacher de ce que j’éprouvais me plaisait. Tout dévoiler de mes ressentis me troublait. Tout avouer de mon excitation d’être une ...