Business, amour et sexe - Histoires de Sexe

Business, amour et sexe

... Bastien, bref, dans trois mois nous serons à la tête de l’entreprise, mais déjà nous pouvons commencer à présenter nos projets, à recevoir les collaborateurs pour sonder leur désir de rester ou de partir, bref il y a du boulot !
— Félicitations, les amoureux, vous n’avez pas perdu de temps ! Un pareil changement, ça se fête, non ? Je vais chercher une bouteille à la cave !

Julien remonta porteur de champagne, que nous sirotâmes tranquillement en évoquant nos projets. Je voyais briller les yeux de Séverine, nul besoin qu’elle s’exprime pour que nous nous comprenions, et son imperceptible mouvement des lèvres mit le feu entre mes cuisses. Ses hanches s’étaient un peu élargies, sa poitrine, qui m’avait fait mouiller la première fois que je l’ai vue, tendait le tissu de sa blouse, elle était désirable en diable, je dus faire un effort pour réfréner mes envies de l’embrasser, d’aller m’asseoir à côté d’elle, de…

— Je ne vous cache pas que Magali est un peu inquiète, pensant que notre vie va être soumise à de telles responsabilités professionnelles que je serai peu présent pour elle, toujours au boulot, et épuisé une fois à la maison.
— Ne t’inquiète pas Bastien, j’irai lui tenir compagnie quand tu feras des heures supplémentaires, tu peux compter sur moi !

Cette réflexion spontanée de Séverine faillit me faire exulter comme une ado invitée à une disco, elle fit sourire mon amant, mais Julien me sembla moins enthousiaste. J’allais devoir me montrer aussi sage ...

... que prudente, le terrain paraissant miné.

La soirée s’acheva dans la bonne humeur, Bastien et Julien devant se recontacter pour une sortie à vélo. Au moment des embrassades, je sentis clairement la langue de Séverine passer furtivement sur le lobe de mon oreille, ses doigts s’attarder un peu trop sur mes épaules nues, je baissai les yeux pour m’éviter tout dérapage.

Nos invités partis, je me ruai sur Bastien et l’embrassai fougueusement, il répondit à mon baiser passionné en me plaquant contre le mur et en glissant sa main sous ma jupe fendue.

— Elle te manque vraiment ta petite prof ? parce que je ne crois pas que ce soit moi qui provoque pareille inondation entre tes cuisses !
— Oh oui, si tu savais… Prends-moi, mon amour, ne me laisse pas comme ça. !

Excitée comme jamais, Bastien arracha presque ses vêtements, tira une chaise sur laquelle il me fit poser un pied puis, écartant ma culotte poisseuse, m’embrocha d’un seul coup. Je faillis hurler, mais mon amant m’avait bâillonné de sa main.

— Je vais te bourrer comme tu le mérites, ma jolie perverse, je vais te remplir la chatte de sperme. Tu sens comme je suis dur pour toi ? Tu sens comme elle glisse bien en toi ?
— Oui je la sens, oui je te veux, baise-moi fort, inonde-moi de ton jus, fais-moi jouir !

Mon homme ne me ménagea pas, me clouant de sa verge contre le meuble auquel j’étais adossée, ses mains agrippées à mes hanches pour me pénétrer à fond, enchaînant des coups de reins de plus en plus ...