1. Une journée fatigante


    Datte: 22/12/2024, Catégories: f, fff, jeunes, frousses, Collègues / Travail groscul, fépilée, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, intermast, facial, Oral fist, fdanus, uro, journal, lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... au tac :
    
    — Je préfère faire mouiller les femmes.
    
    Au moins les choses étaient claires ! En retournant vers le restaurant nous continuâmes sur le sujet.
    
    — Tu en as fait mouiller beaucoup, des femmes ?
    — J’ai pas compté, dit-elle en rigolant. Mais c’est sûr que l’activité au magasin facilite les choses. En plus on a des alliés : les maris. Tu verrais leurs yeux quand ils voient leur femme se déshabiller devant moi et quand je les aide à agrafer ou à détacher un soutien-gorge ou à ajuster une culotte.
    
    Je l’interrompis :
    
    — C’est un peu plus qu’une aide. Tu m’as carrément caressé les fesses sous prétexte de bien adapter le string.
    — Normal, tu as de belles fesses et une peau très douce et j’ai senti que cela ne te déplaisait pas trop, alors pourquoi se priver.
    
    Et elle poursuivit :
    
    — Il y en a qui se prennent au jeu. Je peux même vous dire que j’en connais au moins trois qui viennent carrément pour s’exhiber.
    
    Anna posa la question que nous avions au bout de lèvres :
    
    — C’est qui ?
    
    Chloé avec son petit rire aigu nous fit un peu languir. Elle ne donna pas les noms ce qui, de toute façon, ne m’aurait servi à rien, ne connaissant personne. Anna, elle, identifia tout de suite une des clientes avec quand même un étonnement non dissimulé pour ce penchant caché. Nous n’eûmes, cependant, pas droit à des détails ni physiques ni d’attitudes malgré nos demandes pressantes.
    
    — Pour Béatrice, nous avons quelques commandes spéciales, mais pour elle ce sont des ...
    ... tenues de travail.
    
    L’expression nous amusa et elle poursuivit :
    
    — La dernière fois, elle m’a commandé un ensemble trois-pièces noir avec soutien-gorge et string ouvert, c’est totalement importable.
    
    Et elle éclata de rire.
    
    Le restaurant était comme habituellement, plein. Nous partageâmes une grande planche de charcuterie et chacune un très beau baba au rhum ou une Pavlova. La nuit n’était pas encore tout à fait tombée, un peu tôt pour rentrer. Chloé nous informa qu’elle devait faire l’ouverture du dimanche matin à neuf heures. Anna proposa :
    
    — Un bain de minuit, les filles ?
    
    Elle ne déclencha pas un enthousiasme fou à l’idée de reprendre la voiture et de marcher un quart d’heure dans le sable. Les autres plages étaient trop surveillées même la nuit pour se lancer dans une expédition clandestine de nudisme sauvage. La seconde proposition était par contre acceptable :
    
    — Un jacuzzi de minuit, alors ?
    
    L’accord fut facile et nous nous retrouvâmes chez Anna. Au passage nous avions noté que la maison de Paula était encore plongée dans le noir. L’air était doux et immobile et la chaleur accumulée par les pierres du mur était restituée sur la terrasse créant une mini zone tropicale. Il n’était pas tard et le jacuzzi pas trop bruyant pour qu’il puisse être mis en route. Nous nous déshabillâmes dans le séjour dispersant nos vêtements au hasard sur le grand canapé. Nous n’avions pas allumé l’éclairage de la terrasse, seule la tache bleue du jacuzzi faisait office de ...
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