1. Une journée fatigante


    Datte: 22/12/2024, Catégories: f, fff, jeunes, frousses, Collègues / Travail groscul, fépilée, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, intermast, facial, Oral fist, fdanus, uro, journal, lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... doublèrent quasi instantanément de longueur et en baissant les yeux je voyais mon clitounet qui pointait son nez. Je crus opportun, vu la situation, de demander à Anna :
    
    — Il avait bon goût, Thomas ?
    
    Tout en continuant à malmener mes tétons elle s’esclaffa :
    
    — Je suis étonnée que tu ne m’aies pas posé la question plus tôt. J’adore sucer une belle queue, celle de Thomas m’excite. Tu as vu, elle est super courbe et longue. En plus, toute lisse, c’est doux. Son gland est gros.
    
    Plus elle parlait, plus elle pinçait mes pointes et plus ma petite queue à moi était sortie. Elle libéra une de ses mains pour la déplacer sur le clito. Le petit gland était tellement sensible que je sursautai quand elle le cajola du bout d’un doigt.
    
    — Tout son membre était doux et très dur. Je n’aime pas avoir toute la queue dans la bouche, mais j’adore m’occuper du gland, la peau est si douce et délicate. Il a rapidement commencé à émettre le liquide translucide qui sortait de la petite fente et qui le lubrifiait en accord avec nos salives. Le gland plutôt gros me forçait à ouvrir la bouche en grand. On se repassait le membre avec Marianne. Quand il a éjaculé, il était entre deux et il a giclé sur la figure de Marianne. Le reste, j’ai tout récupéré : deux autres giclées puis un petit écoulement.
    — Il a bon goût ?
    — Si tu aimes le jus d’homme, oui, il a bon goût. Un peu iodé, salé et surtout épais. J’adore cette crème gluante.
    
    En disant ça, elle me serra le clito entre pouce et index ...
    ... et déclencha l’orgasme. Mes jambes flageolèrent un peu. Elle repoussa ma main qui voulait lui rendre le plaisir qu’elle venait de me donner. Elle lécha ses doigts enduits de ma cyprine.
    
    — Toi aussi tu as bon goût. Ta mouille est épaisse et visqueuse comme son sperme.
    
    Je voulus rafraîchir mon sexe un peu poisseux de mes émois.
    
    — Laisse comme ça, tu sens la femme, tu sens le sexe et tout à l’heure quand ton parfum sera encore accentué, je te lécherai partout.
    
    Vu la température, nous choisîmes d’être légères. Je remis la même robe bleue, je n’en avais pas trente-six. Je mis une culotte pour ne pas tacher la robe. Anna enfila une robe longue avec un dos nu impressionnant. Nous avions, bien sûr, toutes les deux gardé nos poitrines libres de toute entrave.
    
    Il y avait un monde fou sur la route de Royan. Nous avons prévenu Chloé de notre retard. Elle nous attendait au pied de l’immeuble dans lequel elle avait le studio prêté par Marianne aux saisonnières. Elle s’était changée. Ses cheveux roux étaient attachés en queue de cheval. Les yeux maquillés en vert. Elle portait un petit top qui lui laissait le ventre nu et qui ne cachait rien des contours de ses aréoles et de ses tétons. Un short qui dévoilait le charmant pli sous ses fesses. Aux pieds, des spartiates avec des lanières qui remontaient haut sur le mollet complétaient le tableau. Anna lui dit quand elle monta dans la voiture :
    
    — Dis donc, tu vas faire bander les mecs avec ta tenue là.
    
    Elle répondit du tac ...
«1234...»