Une journée fatigante
Datte: 22/12/2024,
Catégories:
f,
fff,
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Collègues / Travail
groscul,
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piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
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Oral
fist,
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lesbos,
Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
Le transat était confortable, très confortable. Parfaitement ergonomique, tellement ergonomique que je me suis assoupie juste après avoir constaté qu’Anna était elle aussi dans les mêmes dispositions. Nous fûmes réveillées par la sonnerie de son portable.
— C’est Chouchou !
Lorsqu’elle se leva et se pencha pour récupérer ses lunettes de soleil, j’avais eu la vision furtive d’un scintillement rose entre ses fesses. Le plug était toujours en place. Je repris moi-même conscience de la présence de cet objet dans mon troufignon. Je me fis sourire moi-même, j’adorais ce mot qu’Alain m’avait appris. Il aimait parler de mon troufignon mignon, je trouvais l’expression délicate si tant est qu’un petit trou du cul puisse être raffiné. Je contractai un peu mes fesses pour bien analyser cette sensation nouvelle d’avoir un objet qui séjournait dans mon anus. J’étais très réceptive et pénétrable de ce côté-là. Je me rendais bien compte que si je gigotais un peu le plaisir s’imposerait. Anna prolongeait sa conversation avec Chouchou, elle revint un peu tendue, me semblait-il.
— Un problème ?
— Non au contraire, mais un peu tôt pour en parler, je préfère que ce soit sûr.
Rapidement elle eut même l’air plutôt guillerette. Elle s’allongea sur le transat et me tendit un livre. Sur la couverture au fond noir, une gravure ancienne montrait deux femmes orientales dont l’une appliquait du maquillage sur le visage de l’autre. Le titre était : « ...
... Massacre aux bains turcs » et l’auteur, Paula Brilland. La gravure était belle, apaisante, le texte semblait l’être moins, en feuilletant quelques pages j’avais vite compris que la violence et la mort étaient au cœur de ce polar qui faisait, quand même, plus de quatre cents pages. À la première page, une dédicace pour Anna parlait d’amitié et de compréhension et finissait par « Baisers pour Anna ».
— Dis donc, belle dédicace !
Anna se tortilla presque sur son transat.
— Oui, c’est sympa. Tu verras, elle est différente.
— Différente ?
— Oui, difficile à expliquer. Tu te souviens de la DG de la boîte de cartonnage ?
— Anita Ramos ?
— Exactement, eh bien, Paula, c’est la même, en blonde.
Je ne souvenais tout à fait de cette femme que nous avions qualifiée toutes les deux de quarantaine éblouissante. Et pour que deux femmes disent du bien d’une troisième, il fallait vraiment que ce soit exceptionnel… Nous avions eu affaire avec elle pendant deux ou trois mois au rythme de deux rencontres par mois. C’était une Libanaise de naissance avec des yeux fascinants presque dorés. Je me souvenais que nous avions trouvé que le contrat avait été finalisé trop rapidement malgré les félicitations de notre direction.
— La même, tu en es certaine ? J’ai bien compris que Paula, tu la connais dénudée. Si tu as vu Anita nue, c’est que tu m’as caché des choses ou bien qu’elle a renversé une tasse café !
Ce souvenir qui avait initié notre relation nous fit rire.
— Non, mais je suis ...