1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 7/7 : derniers


    Datte: 20/12/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... encouragements de Philippe, mais de sa présence. J’ai besoin qu’il m’embrasse, qu’il me caresse. Nous ne nous lassons pas de ces moments de complicité, où le regard de mon chéri exprime autant son excitation que son amour. Je sais que c’est grâce à lui que je peux vivre ça. Et lorsque survient l’ultime orgasme, le plus violent, le plus dévastateur, qui mérite le nom de petite mort, je tiens la main de Philippe et serre ses doigts, au point de lui faire mal.
    
    Loukas n’a pas encore joui. Il est très fier de la capitulation qu’exprime la longue plainte qui accompagne mon orgasme. Il s’adresse à Philippe, alors que je m’apaise enfin :
    
    • Vidons-nous sur son visage !
    
    Mon amant et mon mari dirigent leurs queues vers mon visage et leurs jets puissants m’atteignent en même temps. J’ai le visage, les yeux, les cheveux maculés. Je recueille cette semence sur mes doigts, que je lèche avec gourmandise, avant de me réfugier dans les bras de Philippe, que je gratifie d’un long baiser amoureux.
    
    Loukas me tend une serviette, pour essuyer les traces de sperme.
    
    • Vous êtes un couple très particulier. J’avoue que ça valait la peine, même si voilà un moment de plaisir qui me coûte cher. Et n’oubliez pas : plus de frasques à l’hôtel jusqu’à votre départ !
    
    Quand nous sortons, alors que mes traits et ma tenue confirment ce qui vient se passer, l’assistante me gratifie d’un « Vrómiki gallikí pórni » (Sale putain de Française) Nous avons appris plus tard que cette femme était la ...
    ... maîtresse de Loukas. Et heureusement, car celui-ci n’a pas osé pousser son avantage, en remettant le couvert. Il m’aurait demandé de le suivre pour la nuit, je ne suis pas certaine que j’aurais refusé.
    
    ***
    
    Nous avons calmé la tempête, à un prix qui me convenait bien. Il reste que nous devons tenir notre parole et que les exigences de Loukas marquent une rupture complète par rapport à ce que nous avions fait les jours précédents.
    
    Nous nous sommes promenés, main dans la main, avec Philippe, au petit port de pêche de l’ile. Je me suis intéressée à la pêche du jour et j’ai engagé la conversation avec deux pêcheurs, le père, Vangelis, la quarantaine, et son fils Stephanos. Ces hommes rudes, à la peau tannée par le soleil et la mer, m’attiraient. Ils m’ont proposé de les accompagner tôt leur lendemain matin sur leur petit bateau, moyennant une gratification modique.
    
    Même si on ne prête qu’aux riches, je n’ai pas pensé immédiatement à ce qui pouvait se passer. C’était juste un moyen d’occuper cette dernière journée, plutôt que de rester à lézarder sur la plage et ce d’autant plus que nous avions promis à Loukas de nous tenir tranquilles. J’avais déjà eu l’occasion d’accompagner des pêcheurs et j’avais envie de renouveler cette expérience.
    
    J’ai proposé à Philippe de m’accompagner, mais il a décliné :
    
    • Tu sais bien, chérie, que je n’ai pas le pied marin. Donc, non merci. Mais vas-y, profites-en !
    
    • Tu n’as pas peur de me laisser seule avec ces deux types ?
    
    • A ...
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