1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 7/7 : derniers


    Datte: 20/12/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... tend un préservatif à Loukas qui hésite un instant, avant de mettre la protection.
    
    • Tu la connais bien ta salope. Tu prévois tout, je vois !
    
    • Ca fait partie de nos arrangements. Olga est libre d’avoir tes amants mais les rapports doivent être protégés.
    
    • Avec une telle garce, c’est mieux en effet !
    
    Malgré mon excitation et mon envie irrésistible, les paroles de Loukas me blessent. Mais au stade où j’en suis, peu importe. Je veux aller au bout, je veux, j’ai besoin d’être baisée, d’être saillie. Mon amant va me prendre en levrette, comme j’aime. Il ne s’encombre pas de préliminaires, de caresses, encore moins de tendresse. Ce jour-là, je ne fais pas l’amour, je baise !
    
    Loukas me la met d’emblée bien au fond et commence immédiatement à me pilonner. Ses couilles lourdes tapent sur mes fesses. Il accélère encore le rythme. Il me démonte littéralement :
    
    • Prends ça ! Ca te plait ?
    
    • Beaucoup !!! Oh vas-y, salaud, n’arrête-pas. Oui, comme ça ! Que c’est bon !!!!!
    
    • Tu aimes faire ça devant ton mari, n’est-ce pas, petite putain ?
    
    • Oh oui, j’adore ça. C’est même ce que je préfère.
    
    Le traitement que m’inflige Loukas déclenche une cascade d’orgasmes.
    
    Les coups de bites de Loukas sont accompagnés d’injures, en Grec, mais que Philippe comprend bien. Tout y passe : « Pórni! (Putain) Thilykó skylí! (Chienne) Vrómiki choiromitéra (Truie)! Nymfomanís (nymphomane) ! »
    
    Il est ordurier, mais ça m’excite. Il me demande :
    
    • Sas arései aftó! (tu aime ça ...
    ... ?)
    
    • Nai, polý! Gámisé me! Prosvolí me! Eímai pórni (« Oui beaucoup ! Baise-moi ! Insultes-moi ! Je suis une putain)
    
    • Nai gynaíkes san esás, i thési tous eínai sto pezodrómio. Páre aftó! Tha se xeskíso! (« Oui des femmes comme toi, leur place est sur le trottoir. Prends-ça! Je vais te démonter!)
    
    Loukas est un véritable étalon et il est endurant. Il ne me laisse aucun répit :
    
    • Oh, que c’est bon ! Que j’aime ça ! Encoreeeeee !!!!!!! Oh, mon Philippe, tu sais c’est exceptionnel. Ca te plait ?
    
    • Beaucoup !
    
    Il y a bien longtemps que mes gémissements sont devenus des cris, puis des hurlements. Les traits de mon visage sont déformés, exprimant un plaisir sans limites, proche de la souffrance. C’est presque trop, mais j’en veux encore. Malgré la porte capitonnée, l’assistante dans la pièce d’accueil sait ce qui se passe dans ce bureau, J’aimerais que ça ne finisse jamais, que les orgasmes s’enchainent comme les vagues de la mer, le plaisir appelant le plaisir. Ce mâle est exceptionnel. Il est de la race des Rachid, des Hassan, des N. Il peut faire de moi ce qu’il veut, je suis sa chose. Je m’offre totalement.
    
    • Nai nai nai! Mi stamatás! Válte to sto káto méros! Gámisé me! Ischyróteri! Nai étsi! Me SKOTONEIS! (« Oui, oui, oui! N’arrête pas! Mets-la bien au fond! Baise-moi! Plus fort! Oui, comme ça! Tu me tues! »)
    
    Je sais deviner le moment où la jouissance sera si forte qu’elle exigera une pause. Dans ces moments, j’ai besoin, non seulement du regard et des ...
«12...456...11»