1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 7/7 : derniers


    Datte: 20/12/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... partir du moment où je ne t’accompagne pas, tu es libre. D’autant que rien ne peut se faire désormais à l’hôtel.
    
    • J’aurai mon téléphone avec moi de toute façon. Mais ne t’inquiète pas, ces types ne sont pas mon genre.
    
    Le lendemain matin Philippe m’a accompagné au port. J’ai choisi de mettre un short et un bikini, mais plutôt sage. Vangelis m’a tendu la main, alors que Stephanos me faisait une bise sur les deux joues. Ce garçon de 20 ans aurait pu être mon fils.
    
    La partie de pêche s’est déroulée sans encombre et a duré deux heures. J’étais loin d’être un fardeau pour les pêcheurs. Au contraire, ceux-ci s’étonnaient de ma maîtrise des techniques de pêche et de mes capacités de navigation. Je leur ai expliqué que c’était le fruit de plusieurs expériences, lors de vacances, dans mon adolescence et ma jeunesse, avant de rencontrer et d’épouser Philippe.
    
    Les casiers étant bien remplis, Vangelis a proposé de prolonger cette escapade pour me faire découvrir l’autre côté de l’ile, avec ses petites criques sauvages, accessibles seulement depuis la mer. En attendant d’y arriver avec le petit bateau de pêche, je pouvais profiter du pont pour me reposer et bronzer, d’autant que c’était notre dernier jour de vacances.
    
    Ils m’ont installé un petit matelas sur lequel je me suis couchée. J’avais enlevé sans hésiter le haut de mon bikini. Stephanos me met à l’aise :
    
    • Ici personne ne te voit. Si tu veux, tu peux faire du bronzage intégral. Ne t’inquiète pas, on ne te fera ...
    ... pas de mal !
    
    Ce n’était pas prudent, mais j’enlevais short et slip de bain pour profiter pleinement de ce doux soleil d’automne, en sachant qu’une résurgence de la pandémie risquait de m’en priver avant longtemps. En « tout bien tout honneur », Stephanos se propose d’enduire mon corps d’huile solaire. Ses mains calleuses me donnent des frissons. Je vois bien, à son érection, que je lui fais de l’effet, mais je n’ai rien relevé, alors que la situation commence à m’exciter.
    
    Je me suis rapidement endormie et assez profondément, bercée par le bruit des vagues et un léger vent. Je me souviens avoir fait un rêve érotique, conséquence évidente de l’état d’excitation dans lequel j’étais. En fait, ce n’était pas qu’un rêve. J’ai ouvert les yeux et j’ai vu Stephanos entre mes jambes, en train de m’infliger un délicieux cunnilingus.
    
    J’ai fait semblant de continuer à dormir. Je ne voulais pas qu’il arrête. Que c’est bon que de se faire lécher par cet inconnu : sa langue est délicieuse et il est particulièrement doué, motivé par le seul plaisir qu’il me donnait. Je ne pouvais plus longtemps prétendre être endormie. J’ai posé ma main sur sa tête et je l’ai encouragé à poursuivre
    
    • Oh oui, Stephanos. Vas-y ! Bouffe-moi la chatte ! Oh que c’est bon !
    
    Stephanos comprend qu’il a mon consentement. Il poursuit sans relâche son traitement, alternant les coups de langue et les pénétrations avec son majeur. Etant à la fois clitoridienne et vaginale, j’étais aux anges :
    
    • Oh c’est ...
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