1. Là-haut, sur la montagne


    Datte: 20/12/2024, Catégories: fh, inconnu, vacances, froid, hdomine, Oral pénétratio, fsodo, confession, Auteur: ChrisM, Source: Revebebe

    ... m’entreprendre, les embrassades, les câlins, les préliminaires, il ne connaît pas. Comme il avait joui plus tôt dans la journée, il est moins pressé, plus endurant. Il ne prête aucune attention à moi, à mon plaisir, il varie les positions, sur le dos, sur le ventre, à genoux. Avec mon mari, pour arriver à la jouissance, j’ai besoin de temps, de caresses. Ce n’est pas le style de Bernard. Quand enfin, il éjacule longuement dans mon vagin, je suis épuisée, les membres courbatus, la voix éraillée. Pour tout bonsoir, un simple « Rien de tel qu’une bonne baise pour bien dormir ». Deux minutes après, il ronfle.
    — Et toi, tu ne te poses pas de questions ?
    — De le sentir à côté de moi, je suis incapable de penser, de me raisonner. C’est lui qui me réveille. Je dors à plat-ventre, la tête dans l’oreiller, quand il se couche sur moi et, toujours, sans dire un mot, me pénètre. La position n’est pas trop confortable pour lui, il m’attrape par les hanches, me fait mettre à genoux, je suis ses mouvements, à moitié endormie. Pendant qu’il ramone mon sexe, il m’enfonce un pouce dans l’anus. Je sursaute, Bernard n’étant pas un délicat, j’ai tout à craindre d’une sodomie. Une claque sur la fesse me calme immédiatement. Il m’écarte les fesses, crache sur mon cul, présente son sexe et force le passage. La douleur est intense, mais je le laisse faire. En quelques allers-retours, sa queue est rentrée à fond, le conduit est chauffé à blanc, la pression implacable. Je n’ai pas le temps de ...
    ... m’accoutumer à sa queue me dilatant l’anus qu’il attaque son va-et-vient. Je ne bouge pas, complètement passive, ne cherchant même pas à me procurer un peu de plaisir. Ses coups de boutoir résonnent en moi, de plus en plus forts, de plus en plus rapides. A ses grognements, je comprends qu’il va en terminer et je sens bientôt son foutre en moi. Et il se retire.
    — Il t’a fait la totale !
    — J’ose à peine terminer. Il me pousse sur le côté, j’ai les yeux fermés, le cul encore meurtri quand il me force la bouche avec sa queue encore vibrante. Les odeurs sont suffocantes, un mélange de sueur, de sperme, de merde. Je suis à la limite de la nausée, mais incapable de m’opposer à sa volonté. Quand je termine son nettoyage intime, il parait satisfait : « T’es quand même une sacrée salope ! ». Je suppose que c’est un mot gentil de sa part… Il se rhabille dans la foulée et descend pour le petit déjeuner, sans même proposer de m’attendre. Quand j’arrive à mon tour, il est déjà parti. La propriétaire vient me servir, elle a les lèvres pincées, nos séances de baise ont été très bruyantes, elle ne doit pas être habituée à de tels débordements. Je demande si mon ami a laissé un message. Elle me répond négativement, mais ajoute « il nous a dit que c’est vous qui payez la note ».
    — L’enfoiré, en plus, c’est toi qui as payé pour lui ! Et tu l’as retrouvé ?
    — Je ne suis pas repartie. J’étais convaincue que si je continuais mon chemin, je retomberais sur lui. Et que je serais incapable de lui refuser ...
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