Là-haut, sur la montagne
Datte: 20/12/2024,
Catégories:
fh,
inconnu,
vacances,
froid,
hdomine,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
Auteur: ChrisM, Source: Revebebe
... auparavant, ni même adressé une seule parole, je ne sais même pas s’il avait pris conscience de mon existence ! Je vais pour me dégager quand je croise son regard et là, je me sens toute chose. Il en profite pour me faire reculer dans ma chambre.
— Un seul regard suffit ? J’espère qu’il avait de beaux yeux.
— Ce n’est pas un regard coup de foudre, du mec qui te fait craquer instantanément, avec qui tu as envie de filer au lit. Non, je deviens passive, incapable de parler, de faire un seul geste. Il me fait assoir sur le lit et, sans un mot, baisse son pantalon, son slip. Son sexe pend devant mes yeux, il me prend une main, la pose sur son sexe et commence à la faire coulisser.
— Tu l’as laissé faire ? Tu me surprends ! Je t’ai vue claquer des mecs pour moins que ça !
— Je suis comme hypnotisée, ses yeux ne me quittent pas. Je commence à le masturber doucement, sa queue se déploie, durcit rapidement et prend un volume impressionnant, et je peux vous dire que j’ai un peu d’expérience. Il me saisit la tête à deux mains, la descend jusqu’au moment où je sens le contact de son gland, force les lèvres et s’introduit dans ma bouche. Il ne me lâche pas pour autant, alternant des petits mouvements, des rotations, avec des grands va-et-vient, sans se soucier de mes déglutissements, des larmes qui me viennent aux yeux. Quand il accélère ses pénétrations, je comprends que la jouissance est proche mais je suis incapable de me retirer. Il continue à me baiser la bouche en me tenant ...
... fermement. Son corps s’arc-boute, sa queue pénètre au fond de ma gorge, ses couilles me percutent le menton et je sens ses giclées arriver. Je suis à moitié étouffée, pas moyen d‘avaler, c’est difficile de respirer. Sans se soucier de moi, il continue de me baiser tant qu’il n’a pas envoyé tout son foutre avant de me relâcher. Je relève la tête, un peu hagarde, les larmes ruisselant sur les joues, le sperme coulant aux commissures des lèvres. « J’avais besoin de me vider les couilles ! ». Sur ces mots, il regagne sa chambre.
— Pas très romantique, le gars.
— Je me retrouve seule comme une conne. Le lendemain, je descends pour le petit déjeuner, Bernard est déjà prêt à partir. Sans même un bonjour, il me tend un papier : « Tu me retrouves là ». Et il s’en va…
— Ne me dis pas que tu l’as suivi !
— J’ai jeté le papier. Je suis furieuse contre lui de m’avoir traitée comme une pute, furieuse contre moi aussi, incapable de lui résister. Et je reprends ma route. Il ne manque pas de possibilités d’étape tout au long du chemin, mais, en fin d’après-midi, quand je décide de m’arrêter, je me retrouve devant la maison d’hôtes qu’il m’avait indiquée, j’avais dû inconsciemment mémoriser l’adresse.
— Il t’avait ensorcelée ?
— On pourrait dire ça. La propriétaire me reçoit courtoisement et indique que mon ami attend dans la chambre. Je monte, il est assis dans un fauteuil, près de la fenêtre, en train de lire. Il lève les yeux de son bouquin, me découvre ruisselante de sueur. « La salle ...