1. Maladie d'amour


    Datte: 17/12/2024, Catégories: fh, ff, hplusag, couleurs, Collègues / Travail nympho, campagne, essayage, parking, collection, caresses, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, init, totalsexe, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... kilomètres de l’entreprise, l’école d’agriculture à trois ou quatre du chef-lieu, du coup j’étais toujours dépendante des autres ou coincée là où j’étais.
    
    Loin de l’atmosphère pesante et malsaine de la maison, je me sentais revivre. L’automne se passa ainsi, dans une certaine insouciance, d’autant qu’il fit assez beau et que j’adorais être dehors toute la journée. Mais je travaillais, beaucoup même. Pour la Toussaint, mon patron ne faisait presque plus de chrysanthèmes, disant que les supermarchés les vendaient maintenant par camions entiers venus d’on ne sait où. Il n’avait gardé que deux ou trois boutiques et quelques clients fidèles qui venaient les chercher directement. Mais « presque plus », c’était quand même 250 pots, tous de variétés exceptionnelles, anciennes ou rares, très jolies. Alors je passais trois jours uniquement à la vente, du matin au soir, jours fériés compris. J’étais contente, parce que chaque jour férié il me payait double et ajoutait en plus un jour à mes congés. J’apprenais plein de choses avec lui, c’était un vrai puits de science concernant les plantes. Et il me montrait tous les gestes techniques, parfois très difficiles, avec ses longues mains fines et puissantes. Quand l’hiver arriva, nous nous repliâmes dans les serres où le travail continuait, à la chaleur de la chaufferie et des rayons de soleil amplifiés par les vitres ou les bâches plastiques. Il faisait chaud et moite, et souvent j’étais obligée de poser mon pull pour travailler. Un ...
    ... jour que je faisais de la multiplication en repiquant des feuilles dans des godets, j’avais donc posé mon pull et j’étais en T-shirt moulant. Je n’avais plus de soutien-gorge, attendant la lessive du week-end, et mes petits seins pointaient librement sous le coton. C’est vrai qu’ils n’étaient pas mal, et le sont encore, bien que pas aussi gros que maintenant. Et puis, comme j’avais bien sué tout le matin, j’avais remplacé le jeans par une jupette presque d’été.
    
    Mon patron arriva doucement derrière moi, observant mes gestes. Pour le godet suivant, il guida mes mains en passant ses longs bras de part et d’autre de moi, corrigeant un peu ma façon de découper la feuille avant de la mettre en terre. Je me laissais faire sans arrière-pensée, puis il me laissa continuer seule en restant derrière moi, les mains sur mes épaules. Sa présence ne me dérangeait pas du tout, au contraire elle me rassurait. Soudain, il me dit doucement :
    
    — Tu sais que tu es joliment faite ?
    — Vous trouvez, répondis-je en souriant ?
    — Oh oui… Tes seins, tes hanches, tes longues jambes, ton petit minois… Tout est vraiment parfait.
    — Hummm… c’est gentil. Je suis contente de vous plaire, répondis-je naïvement.
    — Tu as un petit copain ?
    — Non, pas encore. À l’école, ils sont tous un peu abrutis, comme les garçons de mon village. Et puis ici, je ne vois pas grand monde…
    — C’est bien. Tu vois Magalie, il ne faut pas gâcher ce trésor que tu possèdes, continua-t-il en laissant descendre ses mains sur mes ...
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