1. Maladie d'amour


    Datte: 17/12/2024, Catégories: fh, ff, hplusag, couleurs, Collègues / Travail nympho, campagne, essayage, parking, collection, caresses, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, init, totalsexe, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... donné ce qu’il avait de plus cher après Marianne, mais il se débarrassait en même temps de toute la liquidation de son passé : meubles, vêtements, photos, papiers, vaisselle… Tout était resté en l’état. Le ciel me tombait un peu sur la tête : c’était bien sûr un cadeau colossal, mais aussi un peu empoisonné. Je fis d’abord un grand tri et me débarrassais de tout ce qui représentait l’encombrante présence de la défunte, de tous les meubles et objets qui ne me plaisaient pas également. Mais il fallait assurer en même temps la survie de l’entreprise. Heureusement, depuis quatre ans, tout le monde me connaissait et je pus conserver l’essentiel de la clientèle. L’école d’agriculture me donna aussi un solide coup de main. Même mes anciens profs vinrent m’aider à assurer une bonne gestion et l’on m’envoya des stagiaires presque en permanence pour assurer les tâches de production.
    
    Je pris vite la mesure de l’énorme travail que réalisaient Robert à la production et Marianne à l’administration. Je ne vis pas le jour pendant six mois, avant que peu à peu je prenne de l’assurance et retrouve un peu de sérénité. C’était une entreprise viable et bénéficiaire, et ma nouvelle installation devait en limiter les charges pour trois ans, le temps de me préparer à affronter les difficultés et de constituer une trésorerie de secours. Mais mon corps pendant ce temps s’étiolait sans caresses et me faisait mal de désirs inassouvis. Je préparais donc une quantité de questions auxquelles seul Robert ...
    ... pouvait répondre, plusieurs cartons d’objets que j’imaginais pouvoir lui manquer, notamment une partie de sa collection de plantes rares qui pouvaient très bien survivre sur un balcon de Charente-Maritime, et je partis pour Royan avec le fourgon de l’entreprise aisément repérable. Sur Royan, aucun Robert V… Je me souvins qu’ils disaient « près de Royan », j’écumais donc mairies, postes et gendarmeries des villages alentour, sans succès. Je rentrais dépitée d’une semaine de recherches infructueuses, torturée par mon corps qui avait cru à la proche récompense.
    
    Je recompilais tous les papiers que je n’avais pas jetés, recontactais le notaire, lançais des courriers dans toutes les communes en élargissant ma zone de recherche, mais au bout de six mois je dus me rendre à l’évidence, s’il ne se manifestait pas, j’avais définitivement perdu mon premier amour. Le remplacer me semblait impossible, mais malgré mes masturbations frénétiques et quotidiennes, il fallait bien trouver quelqu’un pour apaiser mon corps dévoré de désir sexuel. Je me mis donc en chasse, en parfaite lucidité. J’essayerai autant d’hommes que nécessaire pour en trouver un qui me comble.
    
    Tous y passèrent, avec une facilité qui me déconcerta. Il me suffisait de repérer un regard lubrique, de susciter un petit encouragement, et hop ! Livreurs, fournisseurs, clients, tous ou presque finirent dans mon lit. Une seule fois pour la plupart, parfois deux pour en avoir le cœur net. Et puis je rencontrai François à une ...
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