Maladie d'amour
Datte: 17/12/2024,
Catégories:
fh,
ff,
hplusag,
couleurs,
Collègues / Travail
nympho,
campagne,
essayage,
parking,
collection,
caresses,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
init,
totalsexe,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... jusque-là, il prit tout le temps nécessaire pour agrandir mon petit trou et l’habituer à une présence intruse. Malgré tout, je fus suffoquée quand son sexe puissant franchit ma petite rondelle. Mais il eut toute la patience et usa de toute la confiance que j’avais en lui pour me diriger merveilleusement. Ce fut la grande découverte d’un monde de sensations nouvelles, relevant toutes très vite du plaisir absolu. L’apothéose fut le moment où il put enfin inonder mes entrailles de sa semence chaude, me propulsant au pinacle du plaisir.
Notre liaison dura quatre ans, le temps d’un CAP puis d’un Brevet Professionnel. Quatre années d’intense plaisir durant lesquelles mon corps se développa harmonieusement, affermissant mes formes de femme en de somptueux attributs quotidiennement utilisés mais jamais maltraités. Je grandis encore un peu, mes épaules et mes hanches s’épanouirent, mes seins grossirent considérablement en restant fermes, ma vulve sollicitée en permanence s’épanouit généreusement en une volumineuse boule charnue et très sensible, mon clitoris grandit à des proportions incroyables d’après mes amants ultérieurs, devenant gros comme une petite cerise sauvage et long comme un sexe de nouveau-né.
De hauts talons affinèrent ma silhouette, encore un cadeau de mon amant qui m’en couvrait en permanence. J’étais heureuse et amoureuse, totalement dédiée à cet homme qui m’avait tout appris et fait tout vivre. Je travaillais bien, je réussissais bien dans mes études, mais ...
... je ne pensais qu’à une chose et sans arrêt : baiser, baiser, baiser ! Maintenant, c’était souvent moi qui dirigeais non seulement l’entreprise mais aussi mon amant, exigeant toujours plus de lui. Pour mes deux années de BP, je décidai de ne plus être interne à l’école, mais d’habiter son petit appartement. Il venait m’y rejoindre au moins deux fois par semaine, c’était indispensable car le rythme était alors de deux semaines chez l’employeur et deux semaines au centre. Je n’aurais pas résisté deux semaines sans son sexe en moi, alors que le reste du temps nous baisions quatre à cinq fois par jour. Le calvaire, c’était les vacances : quatre semaines de disette pendant lesquelles ils partaient à la mer, près de Royan, et où moi je retrouvais les figures tristes et ternes de mon enfance. Dans tous les yeux avides, y compris ceux de mon père, je voyais bien que j’étais devenue une femme maintenant, et une femme désirable. La seule personne avec laquelle je m’entendais, c’était Jana. Elle parlait assez bien le français maintenant et je passais de longues journées avec elle. C’était une fille simple mais sincère, touchante dans sa détresse, sa condition de quasi-esclave et son isolement si loin de chez elle. J’osai lui demander si mon père abusait toujours d’elle :
— Comment sais-tu ça, Magalie, s’étonna-t-elle ?
Je lui montrai alors ma cachette d’enfance, un endroit où je ne pourrais plus entrer maintenant. Elle me dit que oui, bien sûr, peut-être venait-il un peu moins ...