Je suis tactile
Datte: 17/12/2024,
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Auteur: M. Gentil, Source: Revebebe
... Je devenais une gamine lubrique, obscène. Je me laissais porter, plein de défis. Elle-même se lâchait maintenant complètement côté grivois dans le secret de l’étage où nous étions montés.
Nous jouions toutes les deux. Le vin, les mains baladeuses et nos rires m’avaient désinhibé.
Sur un guéridon, j’appréciais un lot de petites tabatières anciennes, j’en commentai les pièces en la tenant par la taille. Elle avait posé ses mains sur les miennes quand j’attrapai un petit brûle-parfum en bronze. Passant devant des photos d’elle datant des années 1960 où elle était resplendissante, elle se désola de ce que devenait sa poitrine qu’elle trouvait trop ridée et trop pendante désormais. Je lui répondis, j’avais clairement un coup dans le nez que « non » et que ses seins étaient magnifiques et, effronté, je joignis le geste à la parole en saisissant à pleines mains les deux lourds globes de ses seins !
Mes paumes doublaient maintenant le large panier à demi-ouvert de son chemisier très fin et d’un blanc éclatant. Je sentais les reliefs de la dentelle de son soutien-gorge de très bonne qualité. Ses seins étaient lourds et pesants mais je les sentais pourtant frissonner dans mes mains. Mireille ferma les yeux et se pencha légèrement en avant, acquiesçant par là à mon geste fou. Elle déposait ainsi dans mes mains sa poitrine triomphante dont j’appréciais maintenant tous les reliefs.
J’hésitai, recueilli face à son offrande, puis j’ouvris finalement son chemisier pour ...
... libérer et embrasser ses seins lourds et finalement assez peu ridés. J’étais persuadé de découvrir sous la dentelle deux globes ridés, affaissés. Et de fait, il n’en était rien.
Mon hôte, toujours en jupe crayon noire mais maintenant au chemisier béant, laissa s’échapper un souffle épais, quasiment un rugissement étouffé qui m’impressionna tout en m’imposant de continuer mes manœuvres. Aussi je m’empressais alors de libérer les deux globes ronds de leur prison de tissu en ouvrant complètement son chemisier et en dégrafant son soutien-gorge.
Je reprenais un temps pour contempler encore ses seins, veinés, aux aréoles larges et aux tétons minces, deux gros globes de fromage frais, deux lourdes mottes de mozzarella. Je les contemplais puis les embrassais goulûment en les soutenant de mes mains qui disparaissaient allègrement sous la chair. Mireille avait maintenant rejeté en arrière son collier de perles pour me dégager son insolent buste dénudé de matrone.
Sa jupe noire et son collant eux étaient toujours en place. Son souffle était encore plus alourdi. Ses mains descendirent vers ma braguette. Elle détacha les premiers boutons de mon pantalon pour atteindre ma culotte qui l’amusa beaucoup.
— Oh ! Les jolis dessous que voilà, dit-elle.
Je rougis. Elle renchérit :
— Et que cache alors cette jolie petite culotte ?
Elle descendit mon pantalon et ma culotte pour libérer ma petite verge qu’elle salua d’un « Oh ! La jolie chose ! » rieur, puis elle me branla un peu ...