1. Je suis tactile


    Datte: 17/12/2024, Catégories: f, hh, fh, hbi, hplusag, fplusag, hagé, fagée, jeunes, inconnu, grossexe, grosseins, groscul, bain, campagne, jardin, collection, hsoumis, hdomine, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme hféminisé, Masturbation caresses, Oral préservati, fist, pénétratio, hdanus, hsodo, confession, bise, Auteur: M. Gentil, Source: Revebebe

    ... prépuces avides. Sa verge était charnue. Son sexe, épais, avide et bronzé, appelait ma bouche. Je descendais alors doucement pour offrir mes lèvres en baisers et après, derrière, l’abri de ma bouche à sa verge charnue qui même molle l’emplissait.
    
    J’embrassais, sa belle queue, la gobais, essayant d’éteindre le feu intense envahissant sa verge gonflée au creux de ma gorge humide et avide d’être comblée. Je l’engamais jusqu’à un début de nausée, acceptée, pour que son plaisir et le mien soient complets. Lui pendant ce temps caressait mes boucles rousses, ma nuque, puis enfin mon sexe pour le presser, le malaxer, le traire et tâter mes deux cerises avides de tendresse.
    
    Avide de le sentir en moi, je m’imaginais les yeux embués, me tortiller, me cambrer, vaincu, prêt à être pris comme une bonne petite chienne. L’appel de mon corps serait compris et je m’offrirais alors sur le ventre, le dos bien cambré, bonne femelle, sûr d’assurer au creux de mes fesses dessinées en cœur l’asile attendu.
    
    Dans ma rêverie, alors que mon amant fourrageait en rêve de sa hampe épaisse mon étroit couloir amoureux, sa main droite venait encore saisir mon petit bijou de garçon. Il jouait avec ma verge, il tassait mon sexe, bulle, boule de chair mi-rentrée. Je ne supportai alors pas plus de stimulation et mes petites couilles, mes deux petites mirabelles roses se vidaient alors dans ses doigts. Ma petite verge, tenue fermement par sa main, se répandait en giclées lourdes et grasses, écrasées ...
    ... et ravies, bulles éclatées. Mon cul empli sentait en lui monter une chaleur plus profonde encore. Rassasié, mon inconnu explosait dans le secret de mon corps, vidant sa longue couleuvre au fond de mon doux couloir en spasmes successifs. Je me cambrai alors pour en cueillir le maximum.
    
    Seul en bord de Loire, absorbé par mes rêveries, je me masturbais maintenant frénétiquement sans plus m’occuper du tout de ce qui m’entourait. Mon sexe était tendu, au diapason de mes rêves assourdissants. J’avais envie de jouir. J’avais envie de couler et d’être pris. Mais j’annulai bientôt ma montée vers l’orgasme. J’ouvris les yeux. Je voulais deviner une silhouette masculine quelque part, pour me contempler, me rejoindre et jouir en moi. Mais autour, personne. Seulement le soleil, le vent, l’eau, les roseaux, les saules et le vol d’un héron. Alors finalement, j’offrais ma jouissance au paysage nu. De petites giclées serrées coulèrent sur les foins.
    
    Je regardai mon téléphone : 15 h 30. Il était temps d’y aller, je me rhabillai.
    
    J’arrivai un quart d’heure plus tard à l’adresse indiquée, près de Beaugency. Mon hôtesse, Mireille, m’attendait devant sa maison, debout, les pieds joints, vêtue d’une jupe crayon noir, et d’un chemisier blanc, sur son allée de gravillons pour m’ouvrir la grille de sa jolie propriété. C’était une dame d’une soixantaine d’années, très élégante. Elle était blonde, les cheveux teintés avec justesse, et bien maquillée. Je sortais tout de suite de ma voiture la ...
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