1. Je suis tactile


    Datte: 17/12/2024, Catégories: f, hh, fh, hbi, hplusag, fplusag, hagé, fagée, jeunes, inconnu, grossexe, grosseins, groscul, bain, campagne, jardin, collection, hsoumis, hdomine, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme hféminisé, Masturbation caresses, Oral préservati, fist, pénétratio, hdanus, hsodo, confession, bise, Auteur: M. Gentil, Source: Revebebe

    ... dire dans un sourire :
    
    — Oui, vas-y, mon petit prince… Viens en moi ! Viens me mettre ta petite bite bien dure.
    
    Je retirai alors ma main de son sexe et y enfilai ma verge petite et brûlante, dure, en une seule fois. Oui je plantai, avide, brûlant, mon petit sexe fin d’à peine quatorze centimètres au creux de sa vulve béante sans quasi aucune résistance. Son sexe ferme épousa parfaitement la courbe de ma petite queue et en quelques coups rapides je jouis assez vite, comme un petit caniche ridicule. J’avais oublié de mettre une capote et je coulai en elle, comme un homme dans une femme. Redevenu mou, je me reculai. Je vis alors ruisseler mon sperme mêlé au sirop de son sexe le long de sa fente donc les lèvres pulsaient. C’était beau dans la lumière. Je revins un peu en elle, le temps d’y redevenir entièrement petit.
    
    Quand son sexe eut fini de se rétracter et d’expulser de lui ma tige redevenue molle et très modeste, nous partîmes en nous tenant par la taille prendre une douche commune. Elle me félicita, ses lourds globes ruisselaient d’eau et venaient parfois frotter contre moi. Elle me savonna partout, en profitant pour me rebranler tendrement un peu. Comme c’était bon !
    
    Puis l’après-midi avançant, elle me proposa d’aller prendre un bain de soleil dans un petit jardin clos aux murs couverts de lierre qui était derrière sa maison. J’acceptai. Sans nous rhabiller, nous nous disposâmes côte à côte sur deux chaises longues en plastique qui nous attendaient déjà. Sur ...
    ... un plateau, près des chaises, Mireille disposa un broc de citronnade plein de glaçons et deux verres qu’elle avait été chercher à la cuisine. Nous nous fîmes des confidences. Nous parlâmes de nos vies, de nos aventures. Elle me parla de ses hommes.
    
    Je lui parlais de mes rares amantes et surtout de mes amants, de mon attrait pour les corps virils et actifs. Racontant quelques anecdotes sensuelles, je concluais en ajoutant que son jardin était sans doute un enclos merveilleux pour se faire baiser. Elle rit, concluant que oui, c’était un endroit parfait pour la « chose ». De fil en aiguille, elle me proposa alors d’appeler une de ses connaissances, un homme d’une cinquantaine d’années adorant les culs de garçons. Elle me le vendit alors comme « un amant adorable, et bien équipé ». Évidemment, j’acceptai. Était-il beau comme le père de famille toisé sur l’autoroute ?
    
    Nous rentrâmes au salon. Elle appela son ami depuis un téléphone fixe à touches blanc des années 1980, un gros modèle de type Socotel. Je me tins derrière elle au cours de son appel. Oui, il serait ravi de me rencontrer. Elle resterait peut-être aider, oui.
    
    Mireille était vraiment une personnalité incroyable. Après avoir fait l’amour avec moi, elle organisait l’offrande de mes fesses à un homme plus âgé.
    
    L’homme riait au bout du fil. Moi je bâillais déjà du cul.
    
    L’attente ponctuée de rires et de sous-entendus me sembla interminable, j’allais deux fois aux toilettes, préparant mon corps, mais de fait les ...
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