1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1662)


    Datte: 10/12/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... fesses entre en contact entre elles. Et dès qu’elles le furent, Karl et Etienne attachaient mes jambes écartées et suspendues à cette barre métallique à celles de cette femelle soumise. Ainsi amarrés et fusionnés l’un à l’autre, la Domina semblait jubiler… Sans pudeur, elle ôtait sa robe, laissant paraitre ses seins nus et magnifiques, son sexe lisse et libre de tout vêtement, ne gardant qu’un bustier, un porte-jarretelle, ses bas et ses escarpins. Karl et Etienne, près d’elle, la caressaient… Leurs mains la tripotaient, glissaient sur ses seins, sur sa fente. Elle se laissait faire tout en malaxant d’une main ma nouille et mes couilles, de l’autre la chatte de ma congénère comme s’il s’agissait de terre glaise.
    
    - Un petit moulage s’impose !, lançait-elle
    
    J’écoutais sans comprendre, trop enivré par, à la fois la douleur et le plaisir. Je ne savais plus qui j’étais, ni où j’allais… Je respirais ces odeurs de sueurs, de sexes émanant de nous tous. J’écoutais le chant de ces talons aiguilles qui martelaient le sol et qui à chaque nouveau pas, me donnait l’impression d’une pression supplémentaire sur mon bas ventre. Je sentais ma nouille durement bandée, par ces tripotages incessants, par ce gode, enfoncé dans mon cul. Je sentais mes couilles lourdes et pendantes qui ne demandaient qu’à être vidées. Je sentais aussi la cyprine de la femelle soumise venant mouiller la raie de mon cul encombré… J’étais perdu, je tirais la langue dès lors que la main de cette satanée ...
    ... Madame Karaine se présentait à ma bouche après qu’elle y ait récolté l’humidité qui perlait de mon urètre. Je me sentais chienne, elle était hyène, ses yeux me regardaient avec un sourire délirant, pervers, victorieux, un sourire qui faisait qu’augmenter mon humiliation et la dureté de ma nouille. Bientôt mon esprit était envahi par des hallucinations défilantes sous mes paupières, des symboles étranges, des images d’êtres aimés comme celles de mes parents, de Louise et même d’Antoine, toutes déchirées par les visages en sueur de mes trois vicieux tortionnaires. Puis soudainement j’étais réveillé et emporté par une douleur inexplicable juste au bout de ma nouille … Des gouttes de cire chaude venaient frapper et éclabousser mon gland violacé et tumescent, entièrement décalotté. Etienne tenait d’une main cette bougie allumée, et de couleur rouge sang, près de ma nouille de l’autre, il l’immobilisait droite, pointée vers le ciel alors que Karl s’occupait de la chatte de ma congénère soumise. Nous gémissions, nous tremblions… et nos tremblements respectifs faisaient vibrer ce gode, enfoncé profondément dans nos chairs. C’était insupportable et délicieux, abject et sublime, douloureux et agréable à la fois. Ma nouille, mes burnes distendues étaient maintenant recouvertes d’une pellicule de cire chaude et colorée de ce rouge flamboyant. Je serrais les dents, haletais, me débattais vainement, alors que cette diabolique Domina s’installait sur mon visage en me torturant violemment les ...
«1...3456»