1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1662)


    Datte: 10/12/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1661) -
    
    Chapitre 47 bis : Un trio infernal -
    
    - … Et une chatte, tu sais bouffer une chatte ?…, tu sais faire gonfler un clito ?...
    
    Sans attendre une réponse de ma part, Madame Karaine m’entrainait en quadrupédie derrière elle pour m’installer à genoux juste sous la femelle soumise ligotée. Tête en arrière, ma bouche se ventousait à cette chatte béante, ruisselante et tuméfiée par ces écarteurs pinçant et serrant ses lèvres intimes… La femelle gémissait à mon premier coup de langue et réagissait en m’envoyant une giclée de sa mouille poisseuse dans ma bouche, telle une éjaculation ! Je n’osais enfouir de nouveau ma langue dans ce vagin largement ouvert et dilaté et surtout détrempé, mais là encore cette Domina ne me laissait pas le choix. Une de ses mains se posait sous mon menton, l’autre s’agrippait à ma chevelure me tenant et me saisissant fermement pour que mon visage reste plaqué contre cette béante vulve visqueuse et gluante. Ainsi, elle faisait aller et venir mon visage, de haut en bas, de bas en haut, sur cette chatte écartelée pour que je m’imprègne de ces abondantes sécrétions d’excitation. Ma peau était parcourue de fourmillements, mes muscles habités d’une tension électrique me rendant à demi-fou. J’entrouvrais les lèvres, tirais la langue, fermais les yeux, me mettait à respirer largement car la chaleur, les odeurs et les saveurs de cette ...
    ... chatte en extrême chaleur m’excitaient terriblement et ma nouille décagée en exprimait son état fortement érectile.
    
    Je n’étais plus qu’une poupée de chiffon entre les mains de cette femme Dominatrice, alors que je sentais dégouliner le long de mon nez jusqu’à mes lèvres cette abondante cyprine qui coulait en un flot brulant et continu jusqu’au fond de ma gorge, telle une source intarissable et emportant avec elle l’humiliation et la stupeur de me trouver ainsi démoli, et d’y prendre goût. Je devenais comme fou, c’était comme de la drogue, parce qu’en plus de cette dégustation féminine, Karl venait de se saisir de ma nouille gorgée de sang à pleine main, dans sa grande main lourde et puissante et commençait à la branler, avec une vigueur presque insupportable. Il donnait de grands mouvements, des gestes de dingue qui m’emportaient aux quatre coins du plaisir, tirant sur ma peau, la rabattant, tirant encore violemment sur mon prépuce jusqu’à ce que mon gland décalotté soit complètement au bord de l’explosion éjaculatrice. A ce rythme-là, sous peu j’allais donc gicler, j’allais expédier mon foutre contenu dans mes couilles de chien bâtard. Mais Karl s’arrêtait juste avant que l’orgasme me foudroie, il saisissait mes burnes et les serrait si violemment que je me pliais en deux et hurlais de douleur.
    
    - Ecarte !, la pute !
    
    Cette fois-ci couché à plat dos au sol, toujours sous cette femelle soumise, j’ouvrais largement les cuisses pour répondre sans attendre à cet ordre odieux ...
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