La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1662)
Datte: 10/12/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... la moindre considération à mon égard, comme s’il était normal pour moi d’avaler ce volumineux chibre. Donc, je le suçais avec vigueur, encore et encore, jusqu’à la sentir complètement gonflée contre ma langue et investir pleinement ma bouche accueillante, chaude et humide.
Mon esprit foutait le camp, il ne restait en moi que la chienne soumise que j’étais, cet être qui se contentait d’obéir, qui se laissait faire, cet être là, ne connaissant plus la morale, ni la peur, ni l’angoisse, ni le doute, mais juste l’obéissance et la dépravation qui me permettaient ainsi de vivre ma profonde nature servile. J’étais donc moi-même, simplement moi, sans que je m’en inquiète, vivant ma servilité à plein régime… Quelque chose de lourd poussait contre mon cul. J’écartais les fesses autant que possible, pour faciliter le passage, quoique cela puisse être, je souhaitais que ça me comble et me pénètre, que ça me remplisse et m’encombre, je désirais le recevoir en moi jusqu’à apaiser la faim de sexe qui me bouffait le ventre, telle une femelle en chaleur cherchant à tout prix à copuler. Je ne pouvais regarder en arrière avec cette queue dominante que je me devais d’avaler et sucer, encore et toujours. Pourtant, à vue de nez, c’était quinze centimètres épais qui me pénétrait et labourait le cul, un godemichet-ceinture long, large et lisse qui me chauffait les entrailles et que Madame Karaine avait enfilé pour me prendre le cul sans modération. Quel bonheur ! Un bonheur indescriptible ...
... d’être pénétré à la fois par l’avant (dans ma bouche) et par l’arrière (dans mon cul). Deux réseaux électriques se rejoignaient dans mon cerveau et m’insufflaient des désirs charnels les plus fous, les plus insensés, les plus effrénés. Je me faisais pilonner, matraquer, broyer laissant les vibrations me parcourir le cul en tremblant de tous mes membres, laissant aussi ce chibre investir ma gorge à la limite de la suffocation...
C’était divin… diaboliquement obscène mais divin… dans le vice et la luxure, dans la dépravation et l’avilissement total, j’étais cette putain qui se donne sans compter…. Etienne me maintenait fermement la tête contre son bassin, pressant de toutes ses forces. Après un coït buccal immobile au fond de ma cavité buccale, il entamait une série d’allers-retours au fond de ma bouche, comme si je n’étais qu’un vulgaire trou, laissant ma langue parcourir son membre tiède, il me baisait la bouche encore et toujours … Soudainement il se retirait, laissant un filet de salive courant depuis ma langue jusqu’à son gland puis se branlait deux ou trois fois seulement. Ses abdominaux se tendirent alors qu’il jouissait plusieurs jets d’un sperme tiède et crémeux qui éclaboussaient mon visage et ma langue que je laissais tendue pour récolter jusqu’à la dernière goutte cette nouvelle humiliation. En sueur et pantelant, Etienne attrapait ma mâchoire, alors que j’étais encore secoué par de violents coups de hanches de cette Domina qui s’en donnait à cœur joie pour m’enculer ...