La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1662)
Datte: 10/12/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... et pour le moins direct. Karl de nouveau saisissait ma bite bandée dans sa main, la branlant vigoureusement, crachant dans sa paume pour lubrifier son geste et s’activait à masturber sans concession ma nouille tendue, raide et prête à jaillir, à exploser tel un volcan en éruption violente.
- C’est bon, ça !, murmurait-il
J’ouvrais les yeux, juste au-dessus de moi, Madame Karaine branlait la chatte de cette soumise femelle fontaine qui contenait ses gémissements, mais lâchait sans discontinuer sa mouille sur mon visage. Je me serai cru sous une fontaine… Etienne lui pressait les seins, lui les tordait, lui les étirait avec un sourire sadique aux lèvres. Karl poursuivait, il me masturbait désormais à grand coup de poignet et avec une énergie phénoménale, une vitesse et une régularité digne d’un métronome qu’on aurait réglé sur la vitesse la plus rapide et ininterrompue :
- C’est bon ça, c’est ce que tu désires, le chien, te faire branler… hein ?, t’aime ça, sale chienne, c’est bon, pas vrai ? T’aime ça, hein ? Dis merci !
Le visage défait, couvert de cyprine, la bouche grande ouverte, lamentable au point de m’étouffer, je remerciais comme je le pouvais.
- Dis ‘merci Monsieur’.
- Mer… Merci … Monsi… Monsieur… glups !, répondis-je alors que j’avalais de travers un flot de cyprine éclaboussant ma cavité buccale- Dis que tu n’es qu’une merde. Dis que tu ne sers qu’à sucer, qu’à lécher et qu’à te faire enculer.
- Je suis … une merde, Monsieur… je … ne suis ...
... qu’une … glups !... suceuse, … lécheuse et … qu’une enculée, glups !... Monsieur, pitié Monsieur … Vous me faites mal, je vais… glups !... rajoutais-je en avalant comme je le pouvais cette quantité mouille déversée en ma bouche
Sa main continuait de me branler, comme si je n’étais qu’une bête à traire, je m’agitais, me tendais, murmurais des mots confus pour signifier que je m’apprêtais à jouir tout en régurgitant un surplus de cyprine. Karl continuait quelques secondes encore, avant de retenir son mouvement, puis laissait ma nouille retomber, bandée, au bord du gouffre, alors que l’ivresse déchirante de l’orgasme manqué me renversait…
- Soit ! Une salope de chienne de ton espèce n’a pas à jouir de ses couilles de chiot ! Tu ne juteras donc pas !
Je poussai un cri de détresse, doublement motivé par ce plaisir refusé, et par la conscience que ces trois pervers étaient en train de volontairement gâcher, jusqu’à me refuser une éjaculation libératrice après m’avoir tant branlé et excité … Ce trio infâme n’en avait pas fini avec nous ! Karl détachait la soumise alors que la Domina, Madame Karaine, m’obligeait de me tenir à quatre pattes. Dans mon dos, sa main chaude et poisseuse venait à nouveau jouer avec mes fesses. Son doigt visqueux de cyprine et brulant caressait le pourtour de mon trou, avant de se glisser avec facilité au fond de mon cul. Etienne lui, présentait sa grosse bite à mes lèvres. Une queue lourde, épaisse finement veinée… qu’il me campait dans la gueule sans ...