1. Salope


    Datte: 05/12/2024, Catégories: fh, hplusag, médical, nopéné, Humour Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... dame moi, j’suis une salope ! Vous l’avez noté ou pas que j’suis une salope ?
    — Je crois que nous en étions restés là la dernière fois en effet. Souhaitez-vous poursuivre sur cette voie ?
    — Putain ! vous êtes bien tous pareils, les hommes !
    — Pardon ?
    — Vous ramenez tout au cul !
    
    Plus aucune parole ne fut prononcée avant qu’il ne referme son dossier et qu’il la raccompagne, l’heure étant écoulée. Des trois derniers patients, il sembla bien distant. Il avait l’esprit encore accaparé par cette Mathilde, cette femme qui, pour la seconde fois de sa carrière, suscitait en lui un intérêt autre que médical.
    
    Lorsqu’elle s’installa, il se dit de suite que l’ambiance de cette prochaine heure allait encore monter d’un cran. Si des précédentes il avait admiré un cul divinement mis en valeur dans un leggings noir, aussi brillant que moulant, pour celle-ci elle était vêtue d’une robe tout aussi blanche que courte.
    
    Il se fit violence pour ne pas s’attarder sur ces sommets, desquels pointaient deux mamelons bien mis en évidence, et plus encore, fit-il mine de rien lorsqu’elle croisa le pied droit sur le gauche, jambes tendues ; non sans avoir jeté un coup d’œil furtif, mais néanmoins indiscret, jusqu’à la couture qui ne revêtait ses cuisses que peu. Pour peu justement qu’elle ne les ait pas croisées, il aurait constaté de visu qu’elle ne portait pas de culotte, comme avoué lors de la première séance.
    
    Professionnellement, du moins du mieux qu’il put, il s’assit, ouvrit son ...
    ... dossier et prit son stylo en main. Mais ce qu’il devina de face lui apparut de dos. S’il avait apprécié deux cuisses dodues, or non grasses, sa place habituelle lui offrait maintenant une vision tout aussi charnue qu’attirante. Le décolleté n’était pas exagéré, pas provocant, au plus suggestif, pourtant, fût-ce la liberté qu’elle revendiquait de ne jamais porter de sous-vêtements, ou l’irrépressible attirance qu’il avait toujours eue pour les seins, les aimant ronds, fermes et arrogants, ainsi ceux de son épouse, il ne pouvait plus détacher son regard de ce val et des deux monts le creusant.
    
    — J’sais de quoi j’vais vous parler aujourd’hui.
    — Parfait, je vous écoute, répondit-il d’une voix plus qu’il aurait souhaité moins mielleuse.
    — Vous savez mon plan cul… bah… c’est fini.
    — Ha !
    
    Encore un ton non contenu. Non professionnel.
    
    — Ouais. Pas un mauvais coup, sinon j’serais pas restée si longtemps avec lui. Bon baiseur mais… j’crois qu’on avait fait l’tour. Toujours un peu pareil : on s’téléphonne et on baise. Pas désagréable mais… répétitif. Limite si on s’parlait à part salut ça va ? Pas mauvais mais… que d’la baise, quoi. Et pas qu’un peu ! Porte à peine fermée que j’étais déjà à poil ! En même temps, j’venais pour ça mais bon… toujours un peu pareil. Alors j’lui ai dit. Et vous savez c’qu’il a répondu ? Si tu veux, j’ai un ou deux potes ! OK ! j’l’ai déjà fait à trois ou quatre, mais quand même ! Salope c’est pas pute, si ? Pas que l’envie me manquait, surtout si ...
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