Salope
Datte: 05/12/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
médical,
nopéné,
Humour
Auteur: Enzoric, Source: Revebebe
— Bonjour. Je vous en prie, installez-vous.
Porte refermée, il la découvrit, déjà confortablement allongée. Un peu surpris par cette rapide mise en situation, il s’assit dans le fauteuil placé derrière elle.
— Bien. D’ordinaire, je discute un peu avant mais puisque vous me semblez… en condition, je vous écoute, Madame.
— J’suis une salope. Une vraie salope. Mais attention ! Pas avec n’importe qui ! J’suis sélective. Très très sélective. Il ne suffit pas d’être beau gosse pour me pécho. Non ! J’ai besoin d’être charmée avant d’être bien baisée. C’est comme qui dirait mon préliminaire à moi.
— Ha ! Bien. Et vous avez toujours été une… salope, comme vous dites ?
— Oui, j’ai toujours été comme ça. Jeune, j’étais banale. Je n’intéressais personne. Pas moche, mais transparente. J’me mettais pas en valeur quoi ! Habillée comme un sac, j’paraissais comme une ado qui s’cherche encore. Pourtant j’avais tout c’qu’il faut où il faut. Deux petits seins déjà réceptifs et jamais enfermés dans c’que toutes les copines du même âge portaient fièrement comme signe de maturité j’pense, et des longs poils frisés jamais cachés dans un string que les copines revendiquaient comme marque d’être femme et plus fillette.
— Un peu paradoxal ce que vous dites, Madame.
— OK ! j’étais déjà une salope en devenir ! Mais j’y peux rien moi, merde ! J’suis née comme ça !
— Née… comme… ça, répéta-t-il lentement en l’écrivant.
— Ouais. Ma première branlette j’devais avoir… douze ans, j’crois… Non, ...
... c’était avant. Un peu avant. J’m’en souviens, le jour de mon anniversaire, ils m’ont appelée pour souffler les bougies. J’étais aux chiottes à m’branler. Et c’était pas la première fois que j’le faisais. J’m’emmerdais à table. Et quand j’m’emmerde bah… j’me branle.
— Ennui… masturbation, marmonna-t-il en couchant ses mots. Continuez, je vous en prie.
— Mon premier orgasme ? J’crois que j’l’ai eu en classe. La prof, elle expliquait un truc chiant. Je ne sais plus bien quoi, mais c’était barbant. Je sais pas pourquoi mais j’ai mis la main dans ma culotte.
— Douze ans… culotte.
— Bah ouais ! J’étais encore une gosse et à c’t’âge, on suit encore l’avis des parents non ?
— Sans doute oui. Donc, depuis quand vous n’en portez plus ?
— Vers treize ans, je crois… Oui, c’est ça ! Fin d’cinquième. Un matin, j’ai regardé mon tiroir et impossible de choisir. Elles étaient toutes moches. Alors j’en ai pas mis.
— D’accord. Et que cela vous a-t-il… comment dire…
— C’que ça m’a fait ? Un sentiment de liberté. D’émancipation.
— Émancipation… bien… Et ensuite ?
— Mon dépucelage ? Le vrai, j’avais un peu plus de dix-huit ans. Pas que les occasions avaient manquées, mais avant j’avais pas eu envie de plus. Je savais à quoi m’attendre pourtant ! J’en avais déjà branlé des queues. Et sucé pas mal aussi.
— Et personne ne vous avait… comment dire… rendu la pareille ?
— Non, aucun ne m’avait encore rendu la pareille, comme vous dites si bien. C’étaient des gosses. Enfin, façon d’parler. On ...