COLLECTION FOLLE DU CUL. J’ai toujours vécu à mille à l’heure (2/2)
Datte: 04/12/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... la recherche de nouvelles sensations et rencontre alors que j’aurais pu joindre les jumeaux, ce grand noir près de moi sur la fin de parcours était une autre source de promesse de plaisir intense.
Je l’ai dit, la bosse de son pantalon de course était promesse de grands moments si j’arrivais à me couler dans son lit après l’arrivée.
• Ma chérie, je te regardais dormir, c’est normal après ce que tu as subi !
Serge, c’est vrai, j’ai oublié un instant qu’il est près de moi alors que je suis couchée dans ce lit.
• Soit sans crainte, tu es sauvée, la bombe que ces connards on faut sauter était remplie de boulons et de clous.
L’un d’eux t’a atteint à la jambe.
Les médecins t’ont amputé de la jambe gauche, les dégâts étant trop importants pour la sauver, l’os était fracassé.
Ils m’ont dit que tu pourrais avoir une prothèse que je te ferais poser dès que nous serons ensemble.
Je sais que tu aimais ta vie trépidante, soit sans crainte, je vais prendre soin de toi.
J’aimerais que nous ayons un bébé, les médecins m’ont dit qu’à part ta jambe tout le reste de ton corps était opérationnel.
Pauvre con, opérationnel, comme il y va et mes plaisirs si intenses après que j’ai fait monter l’adrénaline du plus profond de moi.
Une fois dans la possibilité de me promener dans le fauteuil roulant mis à ma disposition, j’ai baisé avec un infirmier sans le goût que je ressentais avant mon accident.
Je pensais ma vie foutue.
J’étais bonne pour changer des ...
... couches et satisfaire celui à qui j’avais promis fidélité.
De retour en France rapatrié par la compagnie d’assurances que mon mari avait prise pour mon voyage, j’ai retrouvé les hôpitaux et les longues heures de rééducation.
J’avais peur d’avoir perdu plus qu’une jambe, mon corps, mais apprendre à remarcher entre deux barres parallèles avais pour tendance à me faire perdre le moral.
J’étais à deux doigts d’arrêter ma contraception lorsqu’une idée m’est venue.
Tous avait commencé dans les airs après une chute libre.
Avant mon accident américain, nous étions allés à Annecy et j’avais vu des gens faire du parapente.
Le plus dur s’était de démarrer, il fallait courir, j’ai demandé à Serge de me faire poser une prothèse comme j’en avais vu à la télé sur des personnes ayant perdu le bas d’une jambe, le clou ayant frappé sous le genou.
Un temps d’adaptation, j’étais experte en chute libre et parachutisme avec ce pied en forme de lame, j’ai pu plonger une première fois dans le vide.
Autour du point de départ, les gens dans un restaurant nous regardaient tous en mangeant une glace.
Lorsqu’ils ont vu que j’installais moi aussi un parapente, j’ai été très vite l’attraction.
Je commençais à me sentir revivre.
J’ai plongé, j’ai volé admirant le paysage et retrouvant de grandes sensations au niveau de ma chatte.
Un, deux trois saut dès le premier jour.
Dans la navette qui nous remontait j’ai très vite remarqué un grand blond, musclé et bronzé comme je les ...