1. COLLECTION FOLLE DU CUL. J’ai toujours vécu à mille à l’heure (2/2)


    Datte: 04/12/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    « Qui peut me dire ce que je fais dans ce lit et cette chambre inconnue. »
    
    Ce sont les premiers mots que je prononce dans cette chambre alors que j’ai des tuyaux qui m’empêchent tous mouvements.
    
    À oui, j’ai dû m’endormir ou repartir aux pays des songes lorsque j’entends une voix familière.
    
    • Tu verras ma chérie, je vais prendre soin de toi comme je te l’ai promis le jour de notre mariage, « dans les bons et les mauvais jours. »
    
    Que veut me dire Serge par ces mots incompréhensif pour moi !
    
    Et ou est le grand noir que j’aurais mis dans mon lit dès l’arrivée du marathon de Boston où je suis venue pour faire ses 42 kilomètres ?
    
    À oui, les marathons, après Paris et New York, c’est le troisième où je m’alignais avec des espoirs d’être bien placée à force d’entrainement.
    
    Mais oui, mes poussées d’adrénaline lors de ces épreuves comme celle de Paris ou j’ai goûté aux plaisirs féminins pour la première fois de ma vie sont le but que je poursuis.
    
    « Dans les bons et les mauvais jours » qu’est-ce que c’est que ces conneries ?
    
    Ces phrases ce sont des mots que nos parents aiment entendre pour que nous soyons comme eux, une coincée du cul.
    
    Si je les avais pris au mot de la lettre j’aurais loupé ce bon moment passé après le marathon de Paris où j’ai suivi Sandrine chez elle ayant perdu ce gentil toutou qu’est Serge mon mari.
    
    Mon bon toutou, il me suffit de tourner la tête, c’est un peu ce que je peux faire, pour le voir à mes côtés alors qu’il devrait être à ...
    ... Paris.
    
    Sandrine, c’est sur son lit que je lui ai bouffé la chatte buvant sa cyprine pendant qu’elle en faisait de même avec moi.
    
    Sandrine avec qui j’ai couru pour nos entrainements allant même jusqu’à me servir de son appartement pour cocufier deux trois fois celui à qui j’avais juré fidélités.
    
    Lorsque je dis que ce sont des mots dits par obligation et convenance familiale.
    
    Paris et New York, après avoir récupéré de cette distance.
    
    New York ou une nouvelle fois j’étais seule, Serge ayant un congrès international à La Haye en Hollande.
    
    Marathon où j’ai fini vingt-deuxième femme, hors des championnes invitées et où j’ai battu John un Texan avec tous ce qu’il fallait pour intéresser une pauvre femme abandonnée seule au bout du monde.
    
    Un temps, j’ai tenu tête à une Éthiopienne un peu plus faible que ses congénères.
    
    Hélas, la langue était une barrière et lorsqu’elle a accéléré j’étais à deux doigts de lui donner rancard.
    
    C’est au ravitaillement suivant que John m’a sauvé lorsque j’ai loupé le gobelet le renversant au sol et dans l’impossibilité d’en prendre un autre.
    
    Il l’a vu et me tapant sur l’épaule après qu’il m’eut rattrapé, il en avait pris un qu’il me tendait.
    
    John est texan c’est après l’arrivée que je l’ai appris dans son camping-car à l’américaine qui lui servait de logement pour se déplacer dans le pays et où nous avons fait l’amour.
    
    Il avait tout pour plaire, même le chapeau et les bottes, c’était un sportif et en plus des marathons, ...
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