COLLECTION FOLLE DU CUL. J’ai toujours vécu à mille à l’heure (2/2)
Datte: 04/12/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... il faisait des rodéos.
J’étais nue sur son lit lorsque j’ai cru être frappé de double vue lorsque son jumeau est entré à son tour.
Steve, comme Mc Queen l’acteur bien connu.
J’avais assez d’anglais et de pousser d’adrénaline pour satisfaire ces deux Texans bien foutus de leur personne.
L’un était conforme à l’autre à un point de détail, Steve avait un grain de beauté sur sa verge, j’ai pu le voir lorsqu’à tour de rôle je les ai sucés.
En levrette, empalée sur l’un ou l’autre, dans l’impossibilité de voir le grain de beauté et donc celui qui m’enfilait jusqu’à une double pénétration lorsque je leur ai dit « fuck me » et « you can fuck her ».
Baisez-moi et enculez-moi.
J’aurais dû rentrer à Paris, mais un coup de fil à Serge m’autorisant à visiter le pays jusqu’au Texas où j’ai failli devenir Américaine m’a permis de m’éclater.
Ils avaient un ranch où ils s’entrainaient.
J’ai monté mon premier Mustang alors que je croyais que c’était simplement une marque de voiture.
La sangle qu’ils leur passaient sous le bas-ventre les rendait dingues, c’est pour cela que dès qu’on les lâchait, il faisait des sauts désordonnés faisant penser que c’était leur cavalier qu’ils voulaient désarçonner.
La première fois que j’ai pris place sur la selle de ces furies, je me suis accrochée, mais j’ai simplement tenu un temps si court que dès que la porte a été ouverte, j’ai volé faisant un plat dans la poussière.
Les jumeaux élevaient des vaches avec d’immenses ...
... cornes, ils s’en servaient comme les Mustangs.
J’ai voulu essayer, mais je me suis heurté à un refus catégorique.
C’était déjà trop dangereux pour eux, ils voulaient prendre soin de leur petite Française.
Il préferaient me baiser, je leur rendais bien, à tout moment j’étais disponible.
Pendant les trois mois où je suis restée, j’ai pris mon pied chaque fois que je dépassais mes limites, c’était facile, l’un ou l’autre eux aussi était toujours disponible pour me saillir.
Lorsqu’il y avait des taureaux, il y avait des clowns.
L’un d’eux s’appelait Toto, du moins c’est le nom sous lequel il se produisait.
Les jumeaux étaient en piste et c’est dans un des enclos à l’arrière du spectacle qu’il m’a baisé sauvagement alors que j’étais collée à la palissade.
J’ai ouvert sa combinaison et j’ai vu les blessures que ces bêtes lui avaient infligés tout au long de sa vie de clown de rodéo.
J’en avais mal pour lui, mais la pipe que je lui ai fait avant qu’il me prenne la bien récompenser d’une telle abnégation.
Si un appel de Serge me disant que ma mère était gravement malade, je serais certainement resté quelques semaines de plus, trouvant le plaisir sur ces bêtes sauvages et dans le pieu de mes deux texans.
Lorsque je suis rentrée, je m’attendais à quelques questions voire des remontrances, mais c’est un mari tel que je l’avais laissé que j’aie retrouvé.
J’ai repris mes habitudes d’entraînement jusqu’à ce mois d’avril ou j’ai repris l’avion.
J’étais à ...