1. Quiproquos et conséquences 5/8


    Datte: 03/12/2024, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Lord of Sitges, Source: Hds

    ... réguliers des petites plaintes retenues.
    
    Cela me fit un effet bœuf !
    
    Entendre un autre couple faire l’amour, c’est une chose, mais les voir faire, là à deux mètres de moi…ouah !
    
    Mon caleçon me parut soudain très étroit.
    
    Je ne voyais finalement pas grand-chose, pas de sein, pas de sexe, pas de fesses mais cela suffisait pour me filer une trique d’enfer.
    
    Alors que je regardais ses pieds se tordre de plaisir, je n’ai pas vu tout de suite que Claire avait ouvert les yeux.
    
    Lorsque je m’en suis aperçu, elle regardait dans ma direction.
    
    Je me suis vivement projeté en arrière.
    
    Elle m’avait vu ! Je ne savais ni comment ni pourquoi mais elle m’avait vu. J’en avais la certitude.
    
    Mon cœur battait la chamade. Allait-elle crier au voyeur ? Au pervers ?
    
    J’attendis quelques secondes mais aucun autre son que celui de leur plaisir ne me parvint.
    
    Je me penchais alors de nouveau, peut-être avais-je rêvé.
    
    Elle se mit à sourire. Un sourire malicieux. Un sourire démoniaque.
    
    Elle me regardait dans les yeux, un regard émeraude d’une profondeur insondable.
    
    Ce sourire et ce regard me disaient :« – Regarde comme je suis belle ! Regarde comme je fais bien l’amour ! Regarde comme je donne du plaisir à mon homme ! »Je compris qu’elle n’aurait jamais crié au scandale.
    
    Elle était contente que je les observe. Ça l’excitait peut-être.
    
    Alors, démasqué, je me suis un peu avancé à découvert.
    
    Elle remarqua la bosse qui déformait mon caleçon et son sourire ...
    ... s’élargit encore.
    
    Ça l’excitait, c’était évident : Elle accéléra ses mouvements ondulatoires et sa bouche s’ouvrit en grand sur un long cri d’extase.
    
    Bon sang ! Elle allait jouir comme ça, devant moi, en me regardant droit dans les yeux.
    
    C’en était trop pour moi.
    
    Je me suis éclipsé avant d’inonder mon calbut.
    
    Je suis retourné dans la chambre et j’ai jeté les draps au bas du lit.
    
    Alice dormait toujours, à plat ventre. Son petit cul arrogant me faisait de l’œil.
    
    Je lui ai écarté les jambes et me suis installé entre.
    
    J’ai lubrifié mon bout à la salive et je l’ai présenté devant la petite fente endormie.
    
    Je suis entré en elle sans problème.
    
    Ma femme est de celles qui ne disent jamais non pour une séance coquine.
    
    Elle aime ce genre de réveil où, pas encore sortie des bras de Morphée, ronronnante et gémissante, elle sent mon désir la pénétrer doucement.
    
    Mais là, je n’avais pas envie de douceur. J’avais juste besoin de libérer la terrible tension que j’avais en moi.
    
    Je sais, c’était égoïste, peu chevaleresque et ça ne me ressemblait pas, mais à ce moment-là, je m’en foutais éperdument.
    
    Je l’ai pénétrée d’un coup. Elle s’est réveillée en sursaut dans un cri mêlant stupeur et plaisir.
    
    J’ai recommencé, elle ne m’a pas rejeté, elle ne s’est pas défilée. Elle a juste enfoui son visage dans l’oreiller pour assourdir son deuxième cri.
    
    Collé contre elle, j’ai continué, inexorablement, cognant mon pubis contre ses fesses contractées. A chaque fois, ...
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