Maman, Juliette et Moi 04
Datte: 02/12/2024,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: bycolibri1172001, Source: Literotica
... n'étaient plus de simples manifestations de douleur. En revanche, ma queue n'appréciait pas du tout le traitement et j'aurais voulu faire exploser cette fichue cage. Notre mère s'approcha de ses deux enfants bien occupés à des choses interdites. Mais cela ne semblait plus la troubler. Elle soupesa ma bite et mes couilles enserrées dans cette machine révoltante. Elle était heureuse me dit-elle de voir comme l'acier remplissait bien son office. Puis, elle passa la main entre les fesses de Juliette et se mit à la branler très doucement tout en lui massant le dos. Voilà, disait-elle, c'est fini ma jolie. Je vais te consoler en te caressant et ton frère va continuer à te lécher le cul. Je m'évertuais bien sûr essayant d'enfoncer ma langue dans l'anus de ma sœur. Maman, de son côté, devait savoir y faire, car j'entendis rapidement Juliette se mettre à ahaner de plaisir et à crier « oui, oui » comme pour encourager nos mouvements. En quelques minutes, elle jouit en hurlant. Son petit trou se contractait à chaque vague qui l'emportait au pays du bonheur et j'en profitais pour lui dévorer le cul. Mais du fait de ma queue prisonnière, cette caresse si intime m'apportait plus d'énervement que d'excitation.
Enfin, Juliette se laissa couler au sol et maman s'agenouilla auprès d'elle pour la prendre dans ses bras et la consoler.
-- À présent, ma chérie, quand tu voudras punir ton frère, tu m'en parleras avant. Je ne suis bien sûr pas contre de nouvelles idées. Regarde comme il a ...
... l'air ridicule avec sa grosse bite en cage.
Juliette avait séché ses larmes et retrouvait son calme et sa joie de vivre. Je me sentais bien penaud et mon sexe qui virait au violet ne manquait pas de m'inquiéter.
-- Je vais te montrer, commença maman, comment on doit le traire pour l'apaiser quand il n'en peut plus. Je ne vais pas lui donner de plaisir, mais juste abaisser la pression dans sa bite de jeune homme. Tu pourras faire la même chose de temps en temps.
Je dus me mettre à quatre pattes, tête au sol et cul bien relevé, fesses écartées. Dans cette position, ma queue et mes couilles pendaient prises dans l'anneau et la cage qui m'interdisaient de me soulager. Maman s'approcha de moi, s'enduisit les doigts d'une pommade lubrifiante et m'enfonça sans attendre son index et son majeur dans le cul. C'était délicieux, je l'avoue, et je ne pus retenir un couinement de plaisir.
-- Alors cet ami que tu dois lui présenter, plaisanta maman en se tournant vers Juliette.
-- Tu crois qu'il aime aussi les hommes, répondit ma sœur en faisant la naïve.
Je gémissais de plus en plus fort au rythme des aller et retour de ma mère en moi. J'aurais tant voulu qu'elle s'occupât de ma queue, mais elle n'en fit rien. Quelques instants plus tard, je sentis que je coulais, sans jouir, mais que c'était bien du sperme qui sortait de mon sexe comme s'il s'était mis à pleurer. Maman était satisfaite. Voilà, commenta-t-elle pour ma sœur, ce qui s'appelle traire un homme. Ensuite, tu peux ...