Maman, Juliette et Moi 04
Datte: 02/12/2024,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: bycolibri1172001, Source: Literotica
Chapitre 4
Maman avait-elle été gênée par ce qu'elle avait elle-même initié et qui s'était terminé par sa jouissance contre mon visage le mardi précédent ? Toujours est-il que le reste de la semaine s'avéra bien morne. Même au petit-déjeuner, elle n'exigea pas de moi mon bon lait tiède qu'elle aimait boire dans son café. Juliette n'osait pas prendre d'initiative, en tout cas pas en présence de notre mère.
Car elle découvrit cette semaine-là un nouveau jeu qui m'excita autant qu'il me fut douloureux. Tout commença le jeudi après la classe alors que maman nous avait prévenus qu'une réunion à son travail la ferait rentrer en fin de soirée.
Nous avions donc improvisé un dîner sur le pouce que chacun prit dans sa chambre. J'avais traîné dans la cuisine en tee-shirt et caleçon autour de Juliette qui avait gardé sa tenue de lycée : une jupe courte dans un style d'écolière japonaise et un chemisier noir largement ouvert sur son décolleté. Je m'étais à plusieurs reprises approché très près de ma sœur pour mieux sentir son odeur et essayer de lui donner envie d'un peu plus. J'avais même comme par inadvertance frotté mon sexe contre son dos tout en me servant dans le réfrigérateur pendant qu'elle faisait de même. Mais elle fit mine de ne rien remarquer et tout en resta là.
Pourtant, une heure plus tard, alors que j'écoutais des histoires cochonnes au casque, allongé sur mon lit, Juliette entra dans ma chambre sans frapper. J'avais quitté mon caleçon et je bandais fort. ...
... J'avais d'ailleurs décidé ce soir-là de me branler puisque ni Juliette ni maman ne semblaient s'intéresser à moi.
Je commençai par protester devant cette intrusion. Mais Juliette rétorqua illico que si je voulais de la politesse et du respect, je devais en faire preuve moi aussi.
-- Tu crois que je n'ai pas senti que tu te collais à moi, continua-t-elle. Et maintenant, tu m'infliges ta grosse queue quand je ne t'ai rien demandé. Mets-toi debout devant moi et passe-moi ta règle en plastique, celle de l'autre jour.
J'obéis. J'espérais sans me l'avouer une nouvelle fessée et peut-être la même scène dans la baignoire que la première fois. Mais il n'en fut rien. Je me levai devant ma sœur ; ma queue presque verticale battait contre mon ventre de jeune homme. Juliette se saisit de la règle que je lui tendais, s'assit sur mon lit et me tourna vers elle. Elle prit mon sexe dans sa main gauche, comme on recueille un oiseau blessé, et avant que j'aie pu réagir d'une quelconque façon, m'asséna un bon coup de règle sur le membre. Je criai et voulus reculer, mais elle me tenait fort par la queue et me donna une deuxième puis une troisième claque. Je souffrais le martyre et mon sexe se dégonfla en un instant.
-- Voilà, conclut Juliette, je la préfère comme ça ta vilaine bite. Bonne nuit !
Elle s'éclipsa aussi rapidement qu'elle était venue, me laissant à genoux par terre essayant de faire passer la douleur en cajolant mon pauvre membre martyrisé. Je ne dis rien, car, tout au fond ...