1. Maman, Juliette et Moi 04


    Datte: 02/12/2024, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: bycolibri1172001, Source: Literotica

    ... aurons une clé. Je suis d'ailleurs certaine que penser un peu moins au sexe te permettra de progresser en classe.
    
    Pour ma part, j'étais persuadé que m'enfermer la queue dans ce genre d'engin n'allait pas m'aider à me concentrer sur les cours de maths. Mais je préférai me taire à la fois curieux et ravi de voir maman s'intéresser à nouveau à mon sexe.
    
    -- Enlève ta serviette, m'ordonna-t-elle.
    
    Là, ma sœur et ma mère s'approchèrent de ma verge en érection et essayèrent de la faire rentrer dans sa cage sans succès évidemment. Alors maman me branla sans ménagement, comme elle aurait nettoyé une bouteille sale avec un goupillon. J'en profitai malgré tout et jouis bruyamment. Ma queue dégonfla et se retrouva immédiatement prisonnière d'une grille d'acier. Ce fut un peu plus compliqué et douloureux de glisser mes couilles dans un anneau lui aussi métallique et relié à l'étui pénien par deux serrures. Maman s'y appliqua sous les yeux de ma sœur. Ses simples mouvements redonnèrent vie à mon sexe qui grossit en quelques secondes. Pour la première fois, je sentis l'inconfort de la cage. Ma queue l'emplissait toute, mais ne pouvait prendre toute sa dimension. Loin de là ! Ma mère souriait et semblait très satisfaite de son achat.
    
    -- Nous voilà tranquilles ! Je pense que tes draps vont rester bien propres à présent. Nous sortirons cette chose dégoûtante quand tu le mériteras, ajouta-t-elle en pointant son index sur mon bas-ventre.
    
    Je crus que la séance allait s'arrêter là, ...
    ... mais maman se tourna alors vers Juliette pour lui demander ce qu'étaient les trois traces violettes sur ma queue. Au silence qui s'installa, je compris que ma sœur avait pris des initiatives sans en parler à notre mère. Celle-ci avait les deux bras croisés sous la poitrine et attendait les lèvres minces et serrées -- ce qui n'était pas bon signe. Juliette bafouilla, insistant sur mon manque de travail, sur la volonté qu'elle avait de me faire progresser. J'ai cru bien faire, conclut-elle piteusement.
    
    Maman ne répondit rien, mais saisit Juliette par l'oreille et la conduisit ainsi jusqu'à notre pièce à vivre devant la table de la salle à manger où nous déjeunions et dînions. J'avais suivi le mouvement puisque cette fois je n'allais pas me retrouver, espérai-je, face à une porte verrouillée. Maman me demanda d'aller chercher ma règle en plastique et ordonna à Juliette de se déshabiller complètement. Je fis l'aller et retour à ma chambre en quatrième vitesse tant j'avais hâte d'assister à l'humiliation de ma sœur.
    
    Quand je revins, elle avait les larmes aux yeux et avait déjà ôté son chemisier. Elle glissa les mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge qu'elle laissa tomber au sol. Je pus enfin admirer la poitrine de Juliette. Elle était bien sûr plus menue que celle de ma mère, mais elle était toute ferme, arrogante et élastique. À chaque mouvement de son buste, ses seins réagissaient comme deux balles de caoutchouc dures solidaires de son corps. J'aurais tant voulu ...
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