1. Dans Le Bus Ch. 04


    Datte: 26/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... Pour moi tout était flou sûrement à cause de l'alcool.
    
    Je me souviens avoir adoré ça. Je me souviens même avoir ri à un moment donné. Je me suis jointe à la fête et j'ai ri. Même quand l'un d'eux a commencé à gifler mes seins. Je l'ai laissé faire et j'ai adoré. Je me souviens du sentiment de se sentir bien. Les gothiques avaient commencé à me le faire ressentir, mais les sans-abris ont fini. J'ai eu peur, je me suis sentie possédée et j'ai joui comme jamais auparavant.
    
    En clignant des yeux, je réalise que j'ai toujours le bandeau. J'essaie alors de bouger une main pour l'enlever, mais je ne peux pas. Je ne sens plus les menottes, mais je sens le frottement d'une corde. Je crois que je suis attachée, étendue sur le matelas.
    
    D'autres souvenirs me reviennent alors que je me demande comment je suis arrivée là. Tout est si étrange. J'ai l'impression d'être droguée, car mon cerveau a du mal à traiter toutes les informations.
    
    Ça y est, je me souviens maintenant. Quand les sans-abris en ont eu assez, ils ont enlevé mon bâillon et ils m'ont demandé pourquoi je faisais ça. C'est là que je leur ai tout raconté : Comment les gothiques m'avaient kidnappée et malmenée dans le bus, comment ils m'avaient déshabillée et violée pendant des heures. Et comment ils m'avaient laissée attachée après m'avoir sodomisée.
    
    Mon histoire atout changé. L'un des sans-abri a dit qu'il savait comment enlever mes menottes, ce qu'il a fait. Les autres ont défait les ceintures. Ils ont enlevé ...
    ... le bandeau et ils m'ont libérée complètement.
    
    Je me rappelle m'être assise avec eux dans le parc, tandis qu'ils me demandaient si j'allais bien. J'ai répondu que oui et ils m'ont donné une couverture pour me couvrir ainsi que de la vodka pour me calmer. Ils m'ont dit qu'ils pensaient que c'étaient un jeu pervers et qu'ils regrettaient d'avoir participé, qu'ils ne voulaient pas me faire de mal ou quelque chose contre ma volonté. En les entendant parler j'ai vu qu'ils se sentaient mal. Je me souviens que certains d'entre eux m'ont demandé si j'avais besoin d'aide, un téléphone ou autre chose, si je voulais appeler la police. C'étaient des gens bien. Ils avaient vraiment l'air de se soucier de moi.
    
    Et je me souviens de ce que j'ai fait alors. Mon estomac se creuse un peu à ce souvenir. Mais dans l'ensemble j'accepte ce que j'ai fait et j'accepte ce qui s'est passé.
    
    Tandis que j'étais assise au milieu du groupe et qu'ils s'inquiétaient pour moi, je savais que j'avais changé. Quelque chose en moi était différent et je savais que je ne pouvais pas revenir en arrière.
    
    Alors je leur ai demandé s'ils avaient aimé de me voir pendue comme ça. Je leur ai demandé d'être honnêtes. De me dire réellement s'ils avaient aimé me baiser alors que j'étais attachée et sans défense. S'ils avaient apprécié mes glapissements de douleur et mes gémissements de plaisir et de jouissance. Bien sûr, ils m'ont répondu que oui, et l'un d'entre eux a même dit que c'était la chose la plus vicieuse ...