Dans Le Bus Ch. 04
Datte: 26/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
... excitée. Pire encore, je mouille. Même si je crains pour ma vie, je ne me suis jamais sentie aussi excitée. Je n'ai jamais vécu une telle aventure. Les gothiques savaient ce que je n'arrive toujours pas à accepter : J'aime ça... et j'en veux plus.
- Regardez-moi ça! Dit une voix bourrue au bout de vingt minutes.
J'entends beaucoup de bruits, ce qui me fait penser qu'un groupe de personnes se dirige vers moi.
En les entendant, je commence à paniquer, mais je me détends aussi rapidement. Je me dis que c'est ce que je veux. C'est ce dont j'ai besoin. Alors je ne me donne même pas la peine de bouger ou d'essayer de crier. Je reste immobile en acceptant que des étrangers me voient comme je suis... Nue. Ils voient tout, mes nichons d'intello, ma chatte et mon cul bien baisés.
- Putain, cette salope doit être vraiment chaude pour jouer comme ça. Et regardez ces gros nichons! Dit un homme.
Alors je sens des mains sur ma poitrine. Elles me tripotent durement. Elles essaient de tenir mes nichons, mais comme ils sont trop gros, elles se contentent de les tripoter en me faisant ressentir douleur et plaisir. Ensuite on s'amuse avec les pinces sur mes tétons. On les tire, on les défait et on les remet.
Puis je sens un homme qui se presse derrière moi. Un moment plus tard, je sens ce qui doit sûrement être sa bite se présenter à l'entrée de ma chatte. Il la positionne en respirant de plus en plus fort, puis il la pousse à l'intérieur de ma chatte chaude et humide. Nous ...
... gémissons de concert. Mon dos se cambre à la sensation de la bite d'un étranger dans ma chatte.
- Être sans abri a quelques avantages, n'est-ce pas les gars? On a toujours les meilleurs restes! Dit le gars derrière moi.
J'entends d'autres hommes rire. J'en compte au moins six. Et tandis que l'un d'eux tripote mes sains sans pitié, celui qui est derrière moi commence à me baiser. Horrifiée par le fait que je suis violée par un groupe de SDF, je ne suis pas loin de jouir.
Plus tard, j'ouvre les yeux. Je n vois rien d'autre que l'obscurité et la confusion règne dans ma tête alors que je ressens encore les effets de l'alcool. Je sens que je ne suis plus debout, ni attachée dans le parc. Je suis allongée sur ce que je pense être un matelas. Je suis toujours nue et ma chatte et mon cul me font mal. C'est douloureux comme jamais auparavant.
Des bribes de souvenirs me reviennent alors. Ces sans-abris qui m'ont trouvé dans le parc m'ont utilisée encore et encore. Puis ils m'ont enlevé le bâillon et ils m'on fait boire ce que je pense être de la vodka. Ils m'en ont fait beaucoup boire.
Puis ils m'ont encore baisée, se relayant sur chacun de mes trous. Ils m'ont même prise en double en restant debout. Je crois même que l'un est monté sur le dos d'un autre pour essayer de mettre sa bite dans ma bouche. Du moins c'est ce que je pense me souvenir.
Et je suis presque sûre qu'ils ont appelé des amis, je me souviens de beaucoup de gars qui m'ont baisée. C'était comme une fête. ...