1. Dans Le Bus Ch. 04


    Datte: 26/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... restent silencieux en me regardant. Ils ont brisé la ringarde.
    
    - Je... Je suis la première de l'université. Dis-je sans raison.
    
    J'aurais voulu le dire avec fierté, pour leur faire comprendre à quel point je suis mieux qu'eux, à quel point ils sont pitoyables. Mais je n'ai pas d'énergie et les mots ne sortent pas comme je le voudrais. J'entends ma propre voix et combien elle me semble pathétique.
    
    - Oui tu l'es ma chérie! Dit Jessica.
    
    Après cela le silence s'installe jusqu'à ce que j'entende Paul rejoindre ses amis. Il me regarde droit dans les yeux et dit :
    
    - Regardez la fille la plus intelligente de l'école! La fille la plus intelligente, nue, baisée et abusée, couverte de terre. La fille la plus intelligente qui s'est laissée faire. La fille la plus intelligente avec les mamelles attachées.
    
    - Tiens! Dit un des garçons à Paul en lui lançant ce qui semble être mon chemisier.
    
    Le chef de la bande le prend et s'avance vers moi. Je vois s'afficher sur son visage un sourire méchant. - Je sais que tu as aimé ce que l'on t'a fait. Alors on t'offre un cadeau pour te remercier.
    
    J'entends les autres rire. Leurs rires commencent doucement, mais s'amplifient. Bientôt leurs rires sarcastiques résonnent dans la nuit alors que Paul me montre que mon chemisier a été déchiré en une longue bande.
    
    Il commence à l'enrouler autour de ma tête et il la noue à l'arrière. Il recouvre complètement mes yeux. Je ne vois plus que des contours flous. Mais il fait un tour de ...
    ... plus et je ne vois plus rien.
    
    - Dis AAAHHHH! Ordonne-t-il.
    
    En fait il n'attend pas que j'obéisse et il me saisit le menton avec force. Ma bouche s'ouvre et il pousse le tissu à l'intérieur, pas qu'un petit bout, mais beaucoup. Je comprends qu'il enfonce le reste de mon chemisier jusqu'au fond de ma gorge. Il bourre tellement que je ne peux plus bouger la langue ou fermer la bouche. Un bout de tissu flotte sur mon menton comme pour indiquer que je suis bien bâillonnée.
    
    - C'était amusant, ringarde! Dit Paul.
    
    Les autres acquiescent en faisant d'autres commentaires. Mais leurs paroles semblent s'éloigner.
    
    - On se reverra, grosses mamelles! Dit l'un d'eux.
    
    - Ta chatte est bien bonne! Crie un autre.
    
    Mais il est clair qu'ils s'éloignent. Ils partent et ils me laissent comme ça.
    
    J'essaie de crier, mais je ne peux pas. Rien ne sort de ma bouche. j'essaie alors de bouger mes jambes, mais je ne peux pas non plus. Pareil pour mes bras, je peux les bouger d'un côté et de l'autre, mais je ne peux pas enlever les menottes, elles sont bien trop solides. Le mieux que je puisse faire, c'est de les faire tinter sur la barre métallique.
    
    Ils m'ont laissée ici. Ils m'ont laissée, nue, couverte de terre, les yeux masqués, les jambes écartelées et bien baisée. Comment ont-ils pu? Comment ont-ils pu me faire ça? Comment ont-ils pu m'abandonner?
    
    Et puis je sens la raison... Le sombre picotement revient ainsi que la peur d'avoir été laissée ici sans défense. Je suis encore ...
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