La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1689)
Datte: 24/11/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... Un cri inhumain rauque et guttural sortait de nos gorges, chacun de nous six, étions emportés par la douleur et le désir. Mon sexe en feu ressentait chaque barreau de la cage qui emprisonnait ma chair gonflée de sève et la sonde m’envoyait des ondes de plaisir au plus petit mouvement à l’intérieur de mon urètre. La jeune soumise face à moi, gardait la bouche ouverte, les yeux exorbités, des larmes lui montaient aux yeux. Elle geignait, se cabrait, respirait longuement, pour souffler amplement ensuite. Le gode dur entrait en mouvement, me pénétrait et sortait en m’écartant le cul, l’obligeant à s’ouvrir et à se dilater. Cet engin vibrait de plus en plus fort, de façon aléatoire tout en faisant des allers retours incessants. Au plus profond de mon conduit, les vibrations résonnaient et caressait directement ma prostate. Mon ventre se mit à avoir des spasmes tandis que ma queue cherchait vainement à s’épanouir. Très vite mon corps était en feu, cherchant désespérément le plaisir que la cage et le lourd ballstretcher m’empêchaient d’atteindre. Je me laissais baiser, me perdais dans le désir, gémissant et me tortillant sans me préoccuper de celles près de moi, toutes dans le même état que moi d’ailleurs. Je me mettais à transpirer, une sudation abondante, ma nouille et mes couilles me faisait souffrir, alors qu’une vague de désir m’envahissait. A cet instant, une main s’agrippait à ma chevelure m’obligeant à redresser la tête. Madame Louise me regardait droit dans les yeux, avec ...
... un sourire pervers aux lèvres :
- Vous avez raison Maxence, une vraie femelle en chaleur, une véritable putain, voulant constamment être rabaissée, humiliée et toucher le fond de la fange qui est en lui, enfin, je veux dire en elle ! Une véritable salope souhaitant être en permanence possédée et remplie.
Je me sentais au bord des larmes tant l’attente était frustrante, j’avais besoin de jouir mais n’y parvenais pas. Ce gode me faisait monter très haut, au bord de la jouissance avant de se retirer presque entièrement pour mieux revenir. Ce sexe factice qui m’avait paru si froid et dur au départ, était à présent chaud et doux, je le sentais bouger et vibrer, il me branlait le cul, taquinait ma prostate sans relâche, alors que j’endurais la pression des anneaux de métal qui m’empêchait de bander et encore plus de relâcher cette pression dans mes couilles, à cela s’ajoutait l’étirement de mes tétons qui réagissaient eux aussi en m’envoyant des ondes de plaisir supplémentaires dans mon bas-ventre. Je devenais simplement fou ! La soumise à ma gauche jouissait à grand bruit, sans aucune retenue, elle gueulait et suppliait d’arrêter cette machine qui lui besognait sans relâche le cul. Elle criait encore lorsque des coups de cravaches données par Maxence lui cinglaient les fesses.
- Espèce de sale putain… Tu n’es qu’une salope incapable de te retenir plus de dix minutes. Qu’en vas-tu comprendre que tu ne peux jouir que lorsque nous le décidons ?
Les coups cessèrent, mais ...