La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1689)
Datte: 24/11/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1682) -
Chapitre 53 : Douleurs et récompenses -
… et de la belle aventure que me faisait vivre le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans… Quelques jours plus tard, toujours entre les mains de ces pervers, je me retrouvais attaché par une courte chaîne autour du cou à une barre métallique horizontale, à quatre pattes, avec cinq autres femelles, de jeunes soumises, sauf une qui devait avoir une cinquantaine d’années. Nous étions tous là, attachés de part et d’autre de cette épaisse et massive tige de métal, les mains prisonnières dans des moufles en cuir fixées au sol, à attendre, sans bien sûr, nous parler. Celle en face de moi, une jeune femme brune aux cheveux coupés au carré, semblait ailleurs. Elle gémissait régulièrement, je la voyais se déhancher, son corps vibrait et ondulait, son esprit semblait totalement accaparé par des désirs charnels et sexuels intenses. A plusieurs reprises, tant bien que mal, elle s’abaissait pour frotter sa vulve contre le sol, mettant en mouvement son large bassin de femelle et avec l’espoir de prendre ainsi un peu de plaisir. Elle aussi, comme mes autres congénères installées à mes côtés, tous, continuions à subir ces traitements infâmes, avec des injections régulières d’aphrodisiaques surpuissants, des comprimés stimulants nos désirs sexuels et exacerbant notre libido à l’excès, jusqu’à n’être que des salopes dépravées, des chiennes en ...
... chaleur totalement obsédées par le sexe.
Je reconnaissais celle placée à ma droite, la plus âgée. Elle n’était autre que cette femme amenée ici par son mari, parce que celui-ci se plaignait de ne pas pouvoir l’enculer suffisamment. Le traitement qu’elle subissait semblait être d’une grande efficacité ! Elle aussi geignait, tantôt un long soupir, tantôt un cri aigu, tantôt quelques mots incompréhensibles sortaient de sa gorge, elle se trémoussait et s’agitait comme une folle. Dans un murmure compréhensible cette fois-ci, je l’entendais réclamer de la bite, supplier même une grosse queue dans son cul de pute... Je ne me voyais pas, mais je devais moi aussi, renvoyer la même image que ces femelles survoltées et exaltées. Je suais, transpirais, haletais… ma nouille raide cognait contre mon ventre, mes couilles étaient lourdes car non vidées depuis des lustres, mon cul me démangeait, palpitait tel un affamé. Tous, connaissions le même syndrome, la surexcitation sexuelle permanente !… Personne ne remarquait l’arrivée de ce pervers Maxence, accompagnée de cette sadique Madame Brigitte, tant nous étions assaillis par nos pulsions lubriques. Ce fut que lorsqu’ils parlèrent que je me rendis compte qu’ils étaient tous les deux-là à nous contempler avec leurs sourires cruels.
- Toutes ces femelles sont prêtes désormais, elles peuvent regagner leur lieu de vie habituel, lançait Maxence.
- Même celle qui porte des couilles ?, interrogeait Brigitte.
- Même celle-ci !, répondait ...