1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1689)


    Datte: 24/11/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... Maxence- Vous en êtes bien sûr Maxence… Vous savez que cette chienne appartient à Monsieur le Marquis d’Evans, nous n’avons pas le droit à l’erreur.
    
    - Oui Brigitte, cette pute est désormais conditionnée… Aucun retour en arrière n’est possible, elle est et restera une salope, toujours prête à tendre et donner son cul que nous avons vaginalisé, blanchi et dépilé définitivement. Il suffira pendant deux mois encore qu’elle prenne deux gélules par jour, gélules que j’ai fourni hier à Monsieur le Marquis.
    
    - Très bien Maxence, alors je vous laisse agir une dernière fois. Je veux voir ces putes jouir avant que nous les rendions à leur propriétaire.
    
    J’avais évidemment compris qu’il s’agissait de moi dont on parlait lorsque ces deux pervers m’humiliaient en me désignant comme une femelle à couilles ! Pourquoi ressentais-je une forme de honte et de déshonneur à cet instant précis ? N’étais-ce pas la juste réalité ? Oui… j’aimais me faire fourrer et remplir le cul, ou plus précisément la chatte désormais ! Oui… j’aimais prendre du jus dans mon antre ! Oui… j’aimais entendre claquer une paire de couilles sur mes fesses ! Oui… aucun doute, j’étais devenu une véritable salope, une vraie chienne lubrique et insatiable. Pendant que je me perdais dans mes pensées, Maxence lui, était à l’action. Il parait la femelle juste face à moi : Sur ses seins, qu’il palpait sans minutie, il posait sur chacun d’eux, des pompes à vide, puis il fouillait l’entrejambe de celle-ci pour lui poser ...
    ... également une pompe plus petite sur son clitoris. Enfin, il installait derrière elle, une machine à baiser sur laquelle, au bout de la tige métallique, il plaçait un gode d’une taille respectable qu’il lui emboitait dans le cul. Les quatre autres soumises étaient parées de la même façon. Pour ma part, je recevais le même traitement sur mes tétons, mes couilles étaient enfermées dans un long et lourd ballstretcher, ma nouille subissait quant à elle un traitement un peu particulier. Elle était enfermée dans une cage composée d’anneaux de métal reliés par des tiges rigides, une sonde urétrale complétait l’ensemble. Maxence désinfectait ma petite fente et mettait lentement l’engin lubrifié en place. Je gémissais de plaisir et de douleur lorsque la sonde s’enfonçait dans mon urètre. Elle était assez large et cet étirement intime représentait un certain inconfort. Les anneaux comprimaient douloureusement mon érection, je m’agitais quelque peu mais une claque sur mon cul me fit comprendre qu’il valait mieux pour moi de me tenir à carreau ! Une machine à baiser était placée derrière moi, et lorsque l’énorme gland factice et lubrifié entrait en contact avec mon anus et m’ouvrais légèrement le cul, je sursautais… une nouvelle claque me ramenait à la raison !
    
    Les machines à baiser se mirent en route au même moment, les godes s’enfonçaient lentement mais profondément, jusqu’à la garde même, dans nos chairs intimes, alors que les pompes posées sur nos seins aspiraient nos tétons respectifs. ...