L'engrenage
Datte: 24/11/2024,
Catégories:
fh,
hh,
hhh,
Collègues / Travail
Oral
hsodo,
Humour
initiatiq,
gay
Auteur: Leandre R, Source: Revebebe
... jouissance pure. Je me répands dans sa gorge aux toilettes, à mon bureau, dans un recoin du dépôt, en voiture…
Complètement perdu, je m’invente le pseudo-Kantitio sur le forum depyschologies.com et je poste mon histoire en modifiant quelques détails pour rester anonyme. Les réponses ne m’aident guère et ma déroute perdure. Parfois, c’est moi qui l’invite sur WhatsApp, parfois c’est lui qui me dit où le retrouver. Je culpabilise, bien sûr, j’aime Claire plus que jamais, mais lui, sa bouche… il est juste trop doué. Je ne vois pas comment trouver le courage de m’en passer. Aucun sentiment pour lui malgré tout, et je pense que c’est réciproque.
Je ne devrais pas le dire, mais il entreprend des choses que je n’aurais normalement jamais acceptées. Je repense en particulier à ce jour dans mon bureau. L’après-midi touche à sa fin, je pense bien être le dernier membre des bureaux administratifs avec lui. Lorsqu’il passe ma porte en silence et la repousse doucement derrière lui, j’ai un sursaut immédiat d’excitation.
— Fini ce que tu as à faire, j’ai juste envie de ta belle queue tout de suite.
— Heureusement que je n’ai plus rien d’important à boucler…
Il vient à côté de moi, se glisse dans l’espace sous le bureau entre mes jambes et défait mon jean. Comme il ne s’embarrasse plus, il le descend sur mes chevilles avec mon boxer. Sa langue, sa langue… sa langue partout, entre chaque pli, enroulée à mon gland, caressante et gourmande. Il m’attire plus avant et sa langue ...
... descend, fait tressauter mes couilles, darde entre mes fesses et son contact sur mon anus m’électrise. Une onomatopée indistincte m’échappe. Il me tient bien aux cuisses, je ne peux pas le repousser et sa langue m’envoie des frissons jusque dans les reins. Si Claire me voyait…
À nouveau, je suis dans sa bouche et ce doigt qui pousse en moi m’arque contre le dossier de ma chaise. C’est trop, c’est exquis et en moins d’une minute il recueille dans sa bouche le fruit de ses efforts. Je suis effondré, sans force, presque haletant. Quand Alice toque, pousse la porte et s’invite dans la pièce, je n’ai que le temps de me redresser et de me coller au bureau.
— Hello, tu as deux minutes ?
— Heu… oui, oui, bien sûr.
— J’en peux plus de cette journée, dit-elle en s’avançant pour se poser sur le siège en face de moi.
— Pareil, je suis à bout. Je finis juste un truc et je me sauve.
Je devine Étienne prendre une posture aussi confortable que possible, coincé qu’il est dans l’espace exigu. Et mes yeux sont des billes quand je sens qu’il me reprend dans sa bouche pour me téter en silence. Je voudrais serrer les cuisses, mais c’est impossible, il prend trop de place et me tient fermement. Je n’ai même pas eu le temps de débander, j’ai l’impression d’avoir dix ans de moins et une libido infinie.
Alice parle en regardant ses genoux et cherchant parfois à croiser mon regard. J’écoute tant bien que mal ses inquiétudes ; au bout de combien de temps nous nous sommes mis en couple avec ...