1. Le cobra et la mangouste


    Datte: 21/11/2024, Catégories: fh, fhh, prost, grossexe, hotel, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, Auteur: ChrisM, Source: Revebebe

    ... m’arrose de longues giclées de foutre.
    
    — Tu me nettoies.
    
    Une fois que j’ai terminé, il reprend :
    
    — Ce que j’ai dit l’autre jour est toujours valable. Tu peux t’appeler Anna, j’en ai rien à foutre. Mais tu me donnes ton numéro de téléphone, et pas un bidon.
    
    Je lui donne mon numéro personnel, il l’enregistre, fait sonner mon téléphone.
    
    — Maintenant, Anna, assez rigolé, il va falloir se mettre au boulot ! Quand je t’appelle, tu fais ce que je te demande.
    
    Je suis piégée.
    
    ********
    
    Dès le lendemain, il m‘appelle pour un premier rendez-vous et je dois me débrouiller pour annuler mes engagements professionnels. Je me rends à l’hôtel, file discrètement dans la chambre indiquée, retrouve le client. Je retrouverai le même scénario deux autres fois : l’homme me demande de le branler, de le sucer, je mets la capote, il me pénètre, s’agite un moment puis éjacule. Je n’en tire aucun plaisir, malgré la bonne volonté que je mets.
    
    Le dernier rendez-vous est spécial :
    
    — Ils seront deux, j’ai négocié avec eux. Tarif forfaitaire, ils font ce qu’ils veulent pendant deux heures. Et lundi, tu viens chez moi me donner mon fric.
    
    Quand j’arrive dans la chambre, les deux hommes m’attendent en buvant du champagne. Il n’y a pas de verre pour moi, je ne suis là que pour le cul.
    
    Je commence par les sucer en alternance, puis ils me pénètrent chacun leur tour. C’est quand ils me prennent en sandwich que je commence enfin à prendre mon pied. À partir de là, c’est moi qui ...
    ... provoque les nouvelles combinaisons. Je les ai fait jouir deux ou trois fois chacun, moi je n’ai pas compté mes orgasmes. Au moment de partir, je suis contente d’entendre un gars dire à l’autre :
    
    — C’est bien la première fois que je me fais essorer comme ça !
    
    **********
    
    Le lundi suivant, je retrouve Tony chez lui. De nouveau, quand il ouvre, il est à poil. S’il n’y avait pas sa queue, il ne serait pas très attirant : un peu râblé, ventre bedonnant, jambes fines. Je reste les yeux fixés sur sa bite, dans quelques minutes, il va me la mettre.
    
    — Donne-moi le fric.
    
    Je lui tends l’enveloppe, il vérifie le total et déclare d’un air satisfait :
    
    — Et ça n’est que le début. J’ai revu certains clients, à leur prochain passage, ils te veulent. Peut-être que je devrais monter les tarifs. Viens !
    
    Ce soir-là, nous faisons la totale. Mon mec étant en déplacement professionnel aux USA pour dix jours, je pourrai me mettre au repos.
    
    Quand nous avons terminé, il me lance :
    
    — On va faire de grandes choses ensemble. Tu quittes ton boulot, tu bosses pour moi à temps plein et on se fait des couilles en or.
    — Je n’ai aucune envie de faire la pute. Hormis avec les deux mecs, je n’en ai tiré aucun plaisir.
    — Tu ne fais pas la pute pour t’envoyer en l’air, c’est pour le fric. Le plaisir, c’est avec moi. Et ne discute pas, tu fais ce que je dis.
    — Sinon ?
    — Sinon, je te pourris la vie.
    — Tu connais l’article 225 du Code pénal ?
    — C’est quoi cette affaire ?
    — Je suis ...
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