1. Le cobra et la mangouste


    Datte: 21/11/2024, Catégories: fh, fhh, prost, grossexe, hotel, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, Auteur: ChrisM, Source: Revebebe

    ... de monter et descendre sur sa queue. Chose étrange, je la sens grossir et elle me fait de moins en moins mal. J’accélère progressivement, puis me lâche. Quelques minutes plus tard, je brame comme un animal en rut, il s’agite :
    
    — Putain, c’est bon, continue comme ça !
    
    Quand mon orgasme arrive, c’est une tornade qui me ravage, je retombe sur lui.
    
    — Ne pense pas qu’à toi, ma fille. C’est moi qu’il faut faire jouir.
    
    Je me redresse, toujours emmanchée sur son énorme mandrin. Mon vagin étant très sensible, chaque mouvement me fait tressaillir et je n’arrive plus à me bouger sur sa queue.
    
    — Je vais me finir, dit-il en se retirant.
    
    Il enlève la capote, place sa queue devant mon visage et se branle à grands coups. Je comprends qu’il va jouir quand il appuie sa queue sur ma bouche. Le gland me faisant un bâillon, je respire avec difficulté par le nez. Quand les premières giclées arrivent, il me bloque la tête. Son foutre envahissant ma bouche, je ne peux pas avaler, je suis en apnée complète, à demi étouffée. Quand il se retire enfin, je peux reprendre ma respiration.
    
    — Je vais te trouver des mecs, tu pourras te payer toutes les fringues que tu veux. Je n’ai pas testé ton cul, mais on ne va trop en faire le même jour.
    
    Je frémis à l’idée de me faire sodomiser par un tel outil. Il reprend :
    
    — Combien tu demandes ?
    — Combien, pour quoi ?
    — Putain, t’es un peu bouchée. Combien pour une passe ?
    — 50 € pour une pipe, 200 € pour une passe.
    — Garde les mêmes ...
    ... tarifs, je rajouterai ma commission. Avec un supplément de 50 € pour t’enculer. Et la passe se termine quand le mec a joui. S’il en veut encore, il paye. S’il y’a deux mecs, double tarif. Et toujours une capote. C’est clair ?
    
    J’acquiesce de la tête.
    
    — Autre chose encore, mes copains. Quand ils voudront baiser, c’est no limit et ils ne paient pas. Tu me laisses tes coordonnées, c’est moi qui t’appelle. Tu ne mets plus les pieds au bar, tu m’amènes le fric ici.
    
    Ça va vraiment trop loin, je lui donne un prénom bidon, Anna, et un téléphone imaginaire.
    
    Quand je pars, je peux à peine marcher, je ressens chaque pas dans mon vagin. Son sexe me l’avait complètement distendu et je vais avoir besoin de quelques jours pour qu’il revienne au repos. Mais j’ai eu un orgasme du feu de dieu, celui-là sera difficile à oublier.
    
    **********
    
    Deux semaines plus tard, au cabinet, la secrétaire me passe un appel,
    
    — Il ne s’est pas présenté, il a dit que c’était personnel et urgent. Je vous le passe ?
    — Allez-y, je verrai.
    
    Quand l’appel est transféré, j’entends :
    
    — Bonjour, Anna, c’est Tony, le barman de l’hôtel.
    
    J’ai un blanc, j’avais commencé à oublier cette aventure. C’était un très bon coup, mais je ne veux plus le voir, je n’ai aucune envie de faire la pute. Comment m’a-t-il retrouvée ?
    
    — J’avais des clients, j’ai essayé de te joindre, ton numéro de téléphone n’était pas attribué, j’ai flairé l’entourloupe. J’ai posé quelques questions à l’hôtel, on se souvenait bien ...
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