Le cobra et la mangouste
Datte: 21/11/2024,
Catégories:
fh,
fhh,
prost,
grossexe,
hotel,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
Auteur: ChrisM, Source: Revebebe
... de la femme blonde en réunion, de la société qui avait réservé la salle et me voilà.
— Qu’est-ce que tu veux ?
— Tu me rejoins dans une heure chez moi et je t’en parle.
— Je ne peux pas, j’ai un rendez-vous.
— Soit tu viens chez moi, soit je raconte dans ta boîte ce que tu fais pour arrondir tes fins de mois.
Et il raccroche.
Une heure plus tard, je sonne à sa porte. Il m’ouvre, il est complètement nu. Il me tire par la main, me fait rentrer dans son studio. J’essaye de parler :
— Je voulais te dire que je ne veux pas baiser pour de l’argent, que j’arrête tout, que c’était une connerie. Je peux te dédommager pour les clients.
Tout en me tenant, il commence à se branler.
— Je t’avais dit que je voulais tester ton cul.
Je reste figée, hypnotisée par sa queue, elle me paraît encore plus grosse que dans mon souvenir.
— Déshabille-toi, tout de suite, et pas d’histoires.
Déstabilisée, je me résous à lui céder. Je me déshabille donc. Il s’assoit sur le bord du lit et me bascule sur ses genoux.
— Et d’abord, ta punition. Je n’aime pas qu’on se foute de moi.
Et de m’administrer une monumentale fessée. Il frappe avec force du plat de la main, mes fesses deviennent rapidement rouges, la douleur est cuisante. De me fesser le fait bander, je sens contre mon ventre son sexe durcir et se dresser. Quand il me relâche, je suis sonnée. Il me jette sur le lit, remonte mes jambes sur ses épaules et s’introduit dans mon vagin. Je retrouve la distension de ...
... l’autre jour, mais son sexe rentre plus facilement. Il commence à me ramoner, d’abord doucement puis en accélérant. Mon excitation monte, j’aimerais retrouver la jouissance de la première fois. Comme il va de plus en plus rapidement, je lui demande de m’attendre avant de jouir. Mais il se retire, pose sa queue sur ma rosette. J’ai un hoquet, je cherche à remettre sa queue dans le vagin.
— Tu veux une autre fessée ?
Je serre les dents et attends. Il pousse fort et le gland entre. J’ai déjà vu des gravures montrant le supplice du pal, j’ai l’impression d’en être une victime. Il arrive à l’œillet, s’il le passe, il va m’éventrer. Sans se retirer, il fouille dans la table de nuit, en sort un vibromasseur.
— Tiens, branle-toi.
Il reprend sa poussée, gagnant un peu à chaque fois, il se retire parfois pour mettre du gel lubrifiant sur sa queue.
— Garde le gel dans ton sac, tu en auras besoin.
Quand il passe l’œillet, la sensation est trop forte, je crois exploser.
— Pitié, je n’en peux plus !
— Si tu ne veux plus avoir mal, il faut faire le passage. Et fais-moi confiance, on va le faire.
Et il s’enfonce droit en moi. Je suis dans un semi-coma, me passant le vibro machinalement. Il entreprend ses va-et-vient, m’enfilant une bonne partie de sa queue. J’ai une fournaise dans le ventre, plus rien d’autre n’arrive à mon cerveau. Quand mon orgasme arrive, il vient de nulle part, je ne l’ai pas senti arriver, je hurle. Peu de temps après, il se retire, vire la capote et ...