1. Le cobra et la mangouste


    Datte: 21/11/2024, Catégories: fh, fhh, prost, grossexe, hotel, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, Auteur: ChrisM, Source: Revebebe

    ... même au repos, ses dimensions sont déjà intimidantes. Cela me rappelle l’époque où je faisais de l’équitation, quand on allait voir les étalons avec les copines. On dit bien que la taille de la queue ne présage en rien, mais j’ai une furieuse envie de la voir en pleine érection. Le sexe est entièrement rasé, ce qui accentue l’impression de taille, les testicules sont massifs, proportionnés à la queue.
    
    — Allez, tu ne vas pas rester plantée là. Déshabille-toi et viens goûter ma queue.
    
    Je vire mes affaires et commence à caresser sa queue. Ma main ne peut pas en faire le tour sans la comprimer.
    
    — Tu verras. Quand j’en aurai fini avec toi, tu pourras te prendre toutes les bites que tu veux, ça passera toujours.
    
    Sa queue frémit, se relève, son volume augmente. Je suis subjuguée.
    
    — Ne sois pas timide, ça va pas te mordre.
    
    Je me baisse et donne quelques coups de langue sur le gland.
    
    — T’as un beau cul. Ça plaira.
    
    La queue grossit encore, il m’est impossible de la prendre en bouche. J’ai la mâchoire grande ouverte et le gland ne peut rentrer. Je me contente de le lécher, de descendre le long de la hampe jusqu’aux couilles. Si le volume de sperme est en rapport avec leur taille, cela promet une inondation, ce qui me fait sourire.
    
    — Pourquoi tu rigoles ? Ma queue te plaît pas ?
    — Elle est vraiment énorme, je ne peux pas te faire une pipe.
    — Il y en a peu qui y arrivent. En attendant, mets-moi la capote. Débrouille-toi pour en avoir un bon assortiment avec ...
    ... toi.
    
    J’arrive tant bien que mal à lui enfiler le préservatif. En voyant ce monstrueux sexe, je me demande s’il ne va pas me détruire l’utérus. Il doit avoir l’habitude de telles interrogations,
    
    — T’inquiète pas, un vagin, c’est très élastique, pense au bébé lors de l’accouchement. Et puis, il faudra t’habituer, t’en verras d’autres, des grosses bites. Monte sur moi.
    
    Il s’allonge sur le lit, je l’enjambe. Il m’introduit un doigt, puis deux dans le vagin. Je suis trempée.
    
    — Ça serait mieux que tu t’épiles, c’est plus sexy.
    
    Il me prend par les hanches, me fait descendre jusqu’à ce que je sente le gland à l’entrée de ma chatte. Je suis tendue, bloquée, dans l’attente de l’intromission. Il me claque violemment la fesse. Surprise, je me relâche et il en profite pour s’introduire dans mon sexe. En appuyant fermement, sur mes hanches, il me fait descendre progressivement. Je sens mon vagin se dilater, comme si on avait gonflé un ballon à l’intérieur, la douleur est sourde. Sa queue n’est qu’à demi rentrée quand il arrive en butée de l’utérus, je sens la chaleur monter de son ventre.
    
    — Montre-moi ce que tu sais faire, fais-moi cracher.
    
    Je reste un moment sans bouger, puis commence à remonter doucement. La chaleur diminue, mais une sensation de manque la remplace. Pendant ce temps, il me palpe, comme un animal de foire.
    
    — Tu as une belle poitrine, mais elle manque de volume. Les clients, ils aiment les gros seins. Il faudra penser à une opération.
    
    Je continue ...
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