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Toute Honte Bue
Datte: 21/11/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byParnoys, Source: Literotica
... inconnu me pénétrer sans que je puisse ni ne veuille m'y opposer. Après tout, j'allais être payée pour cela. L'idée que j'étais en train de me vendre acheva de pousser mon plaisir à son paroxysme. Je fus alors une prostituée qui jouit. Je hurlai mon orgasme sans craindre d'être entendue de tout l'hôtel. Mon client gagné par ma frénésie accéléra soudain les mouvements de son sexe qui labourait mon vagin ruisselant et je l'entendis à son tour pousser des cris sourds dans une langue que je ne connaissais pas. Il resta encore un moment en moi pendant que nous reprenions notre souffle. Un peu plus tard, je l'entendis se lever silencieusement et reprendre ses vêtements. Puis je reconnus le bruit de billets qu'on froissait. Il était en train de me payer pour ma prestation, pour lui avoir livré l'accès de mon corps. Ma jouissance physique qui s'éteignait peu à peu fut comme relayée par la jouissance de la honte assumée et dépassée. Bientôt il s'éloigna sans un mot, sans une salutation : il m'avait consommée. La porte de la chambre se referma : il était parti. Quelques instants plus tard, M. Adrien vint me délivrer. Il retira d'abord mon bandeau et je me vis telle que cet inconnu m'avait vue. Mon corps nu s'offrait, livré sans défense à la vue de quiconque. Mes mains et mes pieds bien liés aux montants du lit ne me permettaient ni de fuir ni de me cacher. En souriant M. Adrien me détacha. Avide de savoir, je lui demandais de me décrire mon client. Il se contenta de me dire ...
... : " Petite curieuse, je vous expliquerai tout, ce soir, dans le train. En tout cas, si j'en juge par les cris que j'ai entendus, il n'était pas nécessaire de vous porter secours". A ces mots je ne pus m'empêcher de rougir. Alors me regardant avec insistance il me tendit une liasse de billets qui avaient été posés sur la table de nuit. "Vous valez cher, ma belle Emmanuelle!". Je pressais ces billets dans ma main. Ils représentaient mon prix. J'étais devenue un bel objet qu'on peut acheter ou vendre. Il me fallut attendre jusqu'au soir pour obtenir les informations dont j'étais si curieuse. Nous reprîmes le train de nuit. Le conducteur des wagons-lits, un homme d'une cinquantaine d'années, dont la lèvre s'ornait d'une petite moustache insolente, s'empara de nos bagages et nous installa dans notre compartiment. Dès qu'il fut sorti, M. Adrien me demanda de me déshabiller entièrement. Il me fit asseoir sur la banquette et s'apprêta à tout me raconter. Il commença par me donner des détails qui ne m'intéressaient pas mais qui selon lui étaient nécessaires pour comprendre tout le déroulement de l'histoire. J'attendais avec une impatience mal déguisée de savoir enfin à quoi pouvait ressembler l'inconnu qui m'avait possédée. C'est alors qu'on entendit frapper à la porte. Sans tenir compte de la tenue où j'étais M. Adrien dit à voix haute : "Entrez". Le conducteur ouvrit la porte et s'apprêtait à la refermer en s'excusant lorsqu'il me vit toute nue devant lui. Mais M. Adrien très ...